CROQUEUSES DE DIAMANTS: LA CHRONIQUE DES JUMELLES ( EN PAUSE)

chroniques des jumelles croqueuses de diamants:FLASH BACK

Cette chapitre va être une flash back pour le passé des jumelles.

Dans la peau de Mina
Il est 13h la cloche sonne et le prof vient de terminer son cour. Les élèves se précipitent pour sortir. Je cherchais du regard Tima mais elle était déjà dehors donc j'entend qu'il reste peu de monde pour sortir sans me faire du mal.
Déjà dehors je vois ma soeur qui tient la main de Bass. Sans dire un mot je les devance et on se met en chemin pour rentrer à la maison.
A la descente on arrivait souvent la maison 13h30min et pourtant on marchais. Dès que la cloche retentit on rentre directement chez nous sans attendre quiconque d'ailleurs on n'avait pas d'amis.
[30min après ]
Arrivé à la maison , maman avait déjà fermer et ranger la table et les légumes.
Mao: salam maleykoum
Maman: maleykoum salam mes enfants comment était votre journée
Tima: comme d'habitude rek wa yaye lo togue tay (quest que tu nous a préparé pour le repas) j'ai très faim
Maman: dom tay dhei togouma guisgua thine bei guay sene dhokh mothi nek( aujourd'hui je ne rien préparé la marmite dont tu vois contient de l'eau) et j'ai vendu le peu de légumes qui restaient hier c'est avec cet argent que je vous ai préparé le dîner d'hier.
Tima: d'accord où est papa
Elle: dans le salon il regarde un match
Mina: Tima prend ces 100f et va acheter pour bass un biscuit baba et de lait 50f mou ponssè et nous on essaye de contrôlé notre faim
Tima prend la pièce et exécute la demande de sa soeur

Alors dans la tradition sénégalaise on nous dit que la marmite ne doit jamais être vide car c'est une malédiction pour la famille. C'est pourquoi la maman des jumelles lorsqu'il n'a rien à préparer elle allume souvent le charbon et met une marmite d'eau au dessus. Elle le faisait aussi pour que personne ne se moque d'elle ou de sa famille.

Le soir nous venons de finir d'apprendre nos leçons et de faire nos exercice. Et nous sommes dans la cour entrain de discuter avec notre maman chérie qui nous donne des conseils lesquelles se grave toujour dans notre mémoire.

Maman: mes filles vous avez tous vu vos règles c'est à dire vous êtes assez grand maintenant et moindre de faut pas vous pouvez être enceinte et si une fille qui veut être respecter et honorer dans son foyer doit attacher son pagne jusqu'au jour ou elle est livrer à son mari et aussi de beaucoup ce méfier de l'homme car ils sont tous des beaux parleurs et lorsqu'une une femme est amoureuse elle fera du n'importe quoi pour rende heureux son homme.
Mina: mai comment faire pour ce méfier des hommes
Maman: il faut jamais donner l'opportunité à l'homme de vous gaspillé votre vie. Avant tout tu doit être descend , avoir une bonne comportement et sainte n'oublier jamais que vous venez d'une famille musulmane. Et tous hommes vous respecteraient. Ya un proverbe qui nous dit "nawal sa bopou koula guis nawlola". Le jour où je quittait la maison de mes parents pour rejoindre celui de votre père c'était le premier jour ou j'était si proche avec un homme et c'était le jour plus beau de ma vie car lorsque tous le village savait que j'étais vierge y'avait une grande fête , les tam-tam résonnaient et les griots chantaient parce que j'avais honorer ma famille c'est pourquoi je vous dit d'être patiente jusqu'au jour de votre mariage. On continuera demain inchallah maintenant il est l'heure d'aller au lit.

Sans répondre nous regagnons dans la chambre de mes parents pour sortir les draps sans oublié de vous dire que dans la maison y'avait une chambre un salon et une toilette. La chambre était celle de mes parent mais comme mon père travaillait les nuits bass dormait avec ma mère et nous on dormez dans le salon en étalant la natte et un drap au dessus.
Et dans un petit coin de la maison où maman préparer le repas.

Alors je vais dans la chambre de ma mère pour sortir les drap et nos pyjama et je le donne à Mina pour qu'elle range le salon et moi je m'occupe d'enlever le drap et de mettre un toile car
Bass urine souvent lit comme tous enfants d'ailleurs.