PARTIE 26

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As Salam-Aleykûm 💘

《L'Homme est capable du meilleur comme du pire, de sourire ou bien de faire souffrir.》

Partie 25 :
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(Je sais pas si vous avez captez pour ceux qui ont lu Maïssa que le père de Yûnus c'est Hichem, le pote à Ihsan. Breeeefons, je vois en ce moment y'en a elles commentent, elles m'envoient des messages et sah merci la famille vous me faîtes trop trop plaisir 😘😘.)

{Yûnus}

Il est sérieux lui ? Déjà qu'il a été absenté pendant toute ma chienne de vie et le gars il ose revenir pour nous dégager.

Moi : -rire nerveux- T'es sérieux toi ? Je peux savoir pourquoi tu veux récupérer cette maison ?

Mon "père" : Y'a des biens qui m'appartienent !

Moi : Mais quel bien ? Tu vois pas que c'est juste un HLM pourri ! Un trou à rat où on doit vivre à 5 ! Et toi t'a pas honte ? Tu te barre avec une salope, tu nous laisse dans la galère et maintenant tu veux nous enlever la seule chose qu'on a. Toi tu pète le million, tu travaille dans une entreprise, ta femme elle est chirurgiene, t'habite dans un putain de pavillon, t'a au moins 5 voitures, t'es pas assez riche putain ?

Mon père : Parle moi bien, je suis ton père je te rappelle.

Moi : -rire- Mon père guetlek (il a dit) toi t'es rien du tout pour moi. Casse toi, dégage, je vais te baffer !

Mon père : 2 mois !

Il me lance la feuille et s'en va je claque la porte énervé et renverse le vase devant moi. Jîhen elle était choqué de me voir dans cet état. J'avais le démon en moi, je voulais tout niquer.

Jîhen : Yûnus calme toi.

Moi : Je peux pas putain ! Bordel de merde, ce bâtard il veut nous dégager ! Il a pas assez fait de mal à ma mère non il veut en rajouter.

Jîhen : Je sais Yûnus, on va trouver une solution faut juste que tu te calme.

Moi : Sa mère elle aurait du garder les cuisses fermés.

Jîhen : Hecheum You arrête !

Moi : Je vais cabler la en faite je rigole pas.

Jîhen : Calme toi.

Elle s'approche de moi et pose ses mains sur mes joues. Elle me regarde dans les yeux puis me fais un bisou sur le front puis sur le nez, la tempe, les joues et le coin des lèvres.

Les nerfs sont redescendu, c'est fou comme elle peut me calmer cette meuf. Je lui mord la joue et elle me prend dans ses bras.

Moi : J'ai une belle vue ouaah.

Elle se recule de moi et arrange son gilet.

Jîhen : You t'abuse.

Moi : Pas de ma faute si même avec un long gilet on voit que ça.

Jîhen : Yûnus ! T'es un vrai pervers toi.

Moi : Et encore, on est pas marrié !

Jîhen : Vas-y ferme là et viens manger.

On s'assois et on termine notre petit-déjeuner. J'essayais d'oublier l'histoire mais ça reste trop dans ma tête. Comment il peut faire autant de mal à sa famille sans aucune pitié ?

On va faire comment nous ? Faut qu'on trouve une nouvelle maison maintenant, je veux pas partir de cette cité moi je suis bien. En plus c'est mon territoire, si je me casse je peux me faire voler ma place putain !

Sous Mon Voile.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant