Un Kidnapping pas comme prévu

Partie 16

"Rien ne donne plus de force aux peureux que la peur affligé par les autres"

Ma jambe allait de mieux en mieux, je m'impatientait de plus en plus . J'ai l'impression que Seyf a un rapport avec tous sa je suis même sur mais pourquoi est-ce qu'il aurait toléré qu'on me tire dessus. Le mur est assez humide j'attend le soir pour pouvoir le casser mais le problème c'est que je n'ai pas d'outils et je dois attendre le soir parce que c'est risqué de le faire en pleins jour. J'entends quelqu'un s'approcher de la porte. Moustapha rentre et déposé la nourriture mais cette fois ci, il laisse le plateau avec c'est In détails qui m'a paru bizarre.

: Moustapha

Il ne s'arrête pas et ferme la porte, je me précipite vers celle ci.

: Pourquoi tu veut à tout prix devenir comme eux. Il était toujours derrière la porte. C'est un chemin sombre qui n'a pas de retour, il faut que tu t'en aille avant qu'il ne soit trop tard tu ne pourra pas faire marche arrière.

Quand il n'est pas devant moi, je n'arrive pas à le déstabiliser.

[...]

Depuis le temps que je suis ici, il n'ont jaimais déposé le plateau sa a toujours été de l'eau dans un verre en plastique et un bout de pain. Ce plateau est en plastique c'est l'instrument idéale pour pouvoir casser le morceau de mur. Le jour où je dois m'évader on me dépose un plateau, ils le savent ou peut être Moustapha a voulu m'aider. Je ne pourrais pas le faire aujourd'hui, peut être qu'ils attendent que je m'évade de moi même pour me tendre un autre piège. Sa paraît trop louche, je dois attendre encore c'est beaucoup trop risqué. Pourquoi j'ai toujours cette pensée, Seyf y est pour quelque chose.

Flashback

Il y a deux ans

Moi: Concrètement Seyf pourquoi tous sa ? Avant tu me disais que c'était pour me protéger mais avec le temps je vois que je n'ai pas besoin de tous sa pour me protéger.

: Maintenant que tu l'a compris de toi même, tous ce que je t'ai appris n'est pas seulement pour te protéger, pour t'apprendre à réfléchir. Tu en aura besoin un jour.

Moi: Un jour ? Quand ?

: Quand ce jour viendra tu le sauras

Moi: Arrête de faire le mystérieux et explique clairement

: Il n'y a rien à expliquer pour l'instant tu n'est pas encore prête.

Moi: Prête a quoi ?

: Tu le sauras dans quelques temps.

Fin du flashback

Est ce que c'est le moment dont il parlais je ne sais plus quoi faire, je suis sur qu'ils ont compris ce que je voulais faire je dois trouver une autre solution. Je me lève et met à taper contre porte.

: OUVREZ MOI LA PORTE

je continue à taper de plus en plus fort

: J'AI DIS OUVRE MOI LA PORTE

J'entends au loin quelqu'un arriver je reculer de al porte et celle-ci s'ouvre.

Sara: Tu veux quoi ?

Je ne prend pas la rpeine de lui répondre et la frappe directement au nez, je la prend par les cheveux et la balance de l'autre côté. Je l'enferme et prend la chaîne en fer que j'en roule autour de ma main. Je monte les marches et Karim apparaît devant moi me met une droite ce qui me fit perdre mon équilibre, je tombe et Karim se met sur moi et m'attrape le visage, je lui met un crochet et me relève. Je monte rapidement et sors, j'aperçois Moustapha au loin qui me regarde.

Moustapha: Tu ne pourras pas sortir d'ici.

: Tu es sur ?

Moustapha: Lâche cette chaîne si tu ne veux pas qu'on emploie la manière force.

: Vous l'avez déjà employé depuis longtemps.

Il y'avait une table au milieu de la pièce je la contourne sous son regard et à ce moment Karim sors de la cave. Il me regarde avec un sourire maléfique sur le visage.

Le téléphone de Moustapha retentit il décroche et fit signe de la main à Karim. J'observais la pièce il n'y avait pas de porte ni de fenêtre seulement cette table et ses chaises.

Moustapha: On doit l'emmener.

: Ou

Karim: Un endroit qui va te plaire

Moustapha: lâché cette chaîne sur un ton énervé

: Sinon quoi ?

Quand d'un coup je sens mon corps brûler et mes membres trembler, je tombe toute tremblante les yeux mi ouvert. J'aperçois Sara au dessus de ma tête avec un taser en main. Il me ligotent les mains et me bandent les yeux. 

[...]

On était assis dans une voiture, il n'y avait que Sara et Moustapha, je ne voyais rien. La route était tellement longue que j'ai finis par m'endormir. Lorsque j'ai sentit la voiture s'arrêter, j'ouvre les yeux mais je ne voyais rien vu que j'avais les yeux bandé. Moustapha me tire par le bras et me fais sortir de la voiture. Il me fit monter énormément de marche. On s'arrêta devant une porte et il toqua, une voix d'homme venant de l'intérieur nous invita à rentrer.