Chapitre 4 : please...forgive me..

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Je m'en voulais plus que tous, mon Maitre était redevenu comme avant, mais j'aurais pus le tuer...et cela etait impardonnable. Je le regardais et j'avais mâl au plus profond de moi...comment ? Comment se fait-il qu'un humain me fasse perdre la tête à se point ? Je le servais mais j'étais vague, perdu, triste, regrettant. Je lui avais promis d'être le majordome parfait mais pourtant je ne l'étais pas...je..je....je n'étais qu'une saleté de diable ! Je ferai mieux de partir...oui...c'est sa...je devrais partir...ne plus me présenter à lui...j'ai trop honte...je sais que sa va être dur...je le sais...mais je dois le faire...et puis..au fond je ne veux pas dévorer son ame...j'ai certe tres faim mais je ne veux pas...je ne peux pas..je vais devoir le quitter...
- Sébastian tu..vas bien ? Me demanda mon jeune Maitre, assis dans son lit en train de boire un thé.
- oh et bien..oui je vais bien en vous inquiétez pas pour moi. Repondai-je avec tristesse.
Malgré qu'il n'avait pas l'air de ne pas me croire îl ne me dit rien. Tenait-îl vraiment à moî ? Ou çe n'était que mensonge ? Rien que de penser à sa, qu'il s'en foutzit de moî me brisait le coeur. Pourquoî sa me brisait le coeur ? Pourquoî...je ne veux pas cela...ce soir je partirais..je suis sur qu'il oubliera...oui..j'en suis tout à fait sur...la journée passa, espérant qu'il montre un signe d'affection je continuais de la regarder..toujours et encore...en vain..quand il fut l'heure pour lui de prendre son bain' je devais comme toujiurs l'aider...et j peux vous dire que j'en ai profiter. J'en ai peofiter pour toucher toute les parcelle de son corps si fin et frêle...mais que j'aimais pourtant...en faite...j'aimais mon jeune Maitre...mais cela n'étais pas réciproque...je le lava profitant de sentir sous mes doigts son corps. Puis je devais ensuite le seché et je le faisais plutot brusquement..peut être malgré tous je lui en voulais.
- tu me fais mâl Sébastian ! Dit-il sèchement et donnant une tape sur ma main.
- oh je..je suis desolé monsieur. Repondis-je déboussolé
- la prochaine fois fait attention. Soupira t-il
Cette phrase me fit plus de mâl qu'autre chose. Quand il fut l'heure de le coucher. Je fis Cômme d'habitude et des que j'entendis qu'il s'était endormi j'entre dans sa chambre. Je m'assis sur le lit et regardèrent longuement mon jeune Maitre...j'hesitais mais je l'embrassa sur le front délicatement et me leva, sortant du manoir.
- s'il vous plaît...oubliez moî dis-je, me mettant à courir.
Je venais de laissé derriere moî beaucoup de chose :
Mes coéquipier qui etait mes amis, le manoir que j'avais proteger durant 3 ans, et le plus important, mon jeune Maitre, qui depuis peu, etait tous çe qui comptait dans ma vie

Bird of Hell, my precious and beautiful lightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant