Les Autres: Évasion // EN PAUSE //

Chapitre 3

~ Je me retournais et quelqu'un m'observais cacher derrière un sapin. Soudain nos deux regards se croisèrent ~
Je vis dans ses yeux comme une certaine tristesse, un certain désespoir. Des larmes roulaient sur ses joues. Il ne devait pas avoir plus de 10 ans. Ses yeux bleus me fixait d'un regard suppliant. Je commençai a me raprocher doucement de lui, je lui dis de venir me rejoindre, que je ne lui ferai aucun mal, qu'il allait être en sécurité et qu'il pouvait avoir confiance en moi. Mais le petit ne bougait toujours pas, toujours aussi terrifié. Je continuai de m'apporcher, petit pas par petit pas quand soudain une immense masse sombre se trouvait a quelques metres derriere lui. L'ombre se rapprocha pour n'être plus qu'à maitenant quelques centimetres de l'enfant qui sanglotait toujours mais maintenant sans bruit. Je me randis compte avec horreur que ce monstre etait un autre et pris connaisance de se qui allait arrivé. L'autre regarda de ses yeux brillants et jaunies moi puis ce petit garçon et un large sourire se fit naitre sur son visage laissant appaitre de grands dents pointus. Tout se passa très vite. L'autre se jeta sur l'enfant, sa langue s'enroula autour de la tête de ce pauvre garçon. Il lança un dernier regard dans ma direction avant que ses yeux ne deviennent blancs. L'autre aggrippa l'enfant et de ses dents fis un leger trou dans le crâne de ce malheureux avant d'absorbé completement son cerveau. Il le mastiqua pendant quelques secondes et il commencait déjà a prendre forme humaine. L'espèce de peau caoutchouteuse noire qui recouvrait son corps laissait place au même petit garçon, les cheveux de couleur chatain et ses grands yeux bleus. Le corps du petit jeta comme un vulgaire bétail le nouveau petit garçon me regarda, un sourire narquois se dessinant sur ses lèvres. Je compris qu'il était temps que je pars maintenant et rapidement si je voulais ne pas finir comme ce petit garçon. Je jetais un dernier coup d'oeil un cadavre ensenglanté. Et me mis a courir aussi vite que je le pouvais. J'apercevai déjà l'entrée du parc mais buta sur un caillou et m'ecroula par terre. Ça y est j'etais fini, cet autre allait se nourrir de moi, je finirai comme ce peit garçon: un trou dans la tête, le corps ensanglanté et les yeux blancs. Déjà, l'autre reprenait sa forme initiale pour pouvoir me tuer. Quand il fit de nouveau cette grande et immense bête noire et caoutchouteuse. Il s'approcha vers moi, la bouche grande ouvert, ses sortes de tentacules a la place des bras se dirigeant vers moi. Il m'attrapa mais au simple contact de ma peau, il fut pris d'une violente douleur comme une brulure et me lacha immédiatement. Il reprit l'apparence du petit garçon et se volatilisa dans les bois. Pourquoi était-il parti ainsi? Qu'avais-je pour que je lui brule la peau? Je n'en savais absolument rien mais toutes ses questions commençaient a me donner des vertiges. Je décidai donc de rentrer chez moi, anéanti par se que ue venais de voir et par peur que d'autres rappliquent.

***
Rentrée chez moi, je decidai d'appeler Romane pour lui raconter se qui s'etait passer mais je tombis sur son répondeur, je réessayai de l'appler encore 2 ou 3 fois mais ne décrochant toujours pas, je lui laissa un message lui disant de me rappeler dés que possible. Je pris mon ordi pour chercher un film a regarder. Depuis que tous cela avait commencer, je ne regardais plus les infos à la télé mais vu ce qui c'était passer cette nuit je preferai me renseigner un petit peu. Ils disaient qu'on avaient perdu leurs traces, plus de nouvelles et qu'il n'y avait pas de victime a déplorer pour l'instant, qu'il ne fallait pas s'inquiéter et qu'il fallait continuer a vivre comme avant. C'est à ce moment que je me rendis compte que tous ces gens mentaient a la population, ne voulant pas voir la vérité en face. Comment ne pouvaient-ils pas dire la vérité, pourquoi cacher ces choses quand celles-ci vont venir la nuit pour vous tuer et prendre votre place sans que personne ne s'en rende compte. À cette seule pensée, je me remémora ce pauvre petit garçon et mes yeux se remplirent de larmes.Plusieurs
présidents avaient fait des conférences de presse. Chacun disait a sa manière qu'il ne s'etait rien passer, absolument rien. Je décidai d'appeler les autorités pour leur parler de se qui m'était arriver aujourd'hui.
" Allô,ici le service de renseignements que puis-je faire pour vous ?
- J'aimerais témoigner par rapport aux événements. Il s'est passer quelque chose lorsque je me promenais dehors et ...
- Je vois, attendez une petite minute, je vais en informer le directeur.
A peine eus-je le temps de lui dire que je pouvais très bien lui raconter tout a elle que déjà elle m'avait mis en attente avec cette foutu musique qui vous gaves bien. Non mais comme ci les gens en plus d'attendre en avait quelque chose a faire de cette musique. Ce fus non pas avec 1 minute mais plutot 5 minutes que l'appelle repris.
- Alors comme ça, il vous serait arriver quelque chose, dit quelqu'un a l'autre bout de l'interphone avec une voix rauque , certainement le directeur pensai-je.
- Oui monsieur, vous dites au JT qu'il n'y a rien mais alors que je me promenais au parc, je
- Venais en au fait cher demoiselle pas besoin d'embelir votre histoire, s'exclama-t-il d'un ton sec.
- D'accord bon , je me promenais et je vis un petit garçon tout seul au milieu des arbres, je lui dit de s'approcher mais comme il ne bougeait pas je me dirigeais dinc vers lui. Mais en avançant, je remarquai une sorte de grand monstre non long de lui, la peau noire et caoutchouteuse. Je criai au petit enfant de bouger de la, essayai de l'attraper mais la bête fut plus rapude que moi et il prit l'enfant, les yeux du malheureux devinrent blancs puis il entra sa langue dans son crane, aspira puis quelques secondes plus tard il muta comme un serpent enlève sa peau et ce retrouva en clone de l'enfant.
- Hum, vous m'avez appeler juste piur ça, une vrai perte de temps. Vous croyez vraiment que j'allais vous croire, un monstre et pis quoi encore. Je sais que des soi-disant autres rodent dans les États-Unis mais la je ne crois pas un mot a votre charabia. Sur ce, bonne soirée.
-Non , attendez s'il vous plait c'est la vérité
Mais déjà le directeur des autorités avait raccrocher. J'essayai de les rappeler plusieurs fois mais personne ne décrocha. Maitenant j'en avais la certitude, les autres n'etaient pas une expérience raté, les autres étaient belles et bien des inventions du gouvernement. Ils allaient pouvoir nous controler, ils auront un moyen de pression si nous voulions nous révolter. Les autres étaient des armes du gouvernement.

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Hey, alors me revoila avec le 3 chapitre, j'espère qu'il vous auras plus. Bon maintenant que la mise en place de l'histoire est faite, ça vas être un peu plus simple pour écrire. Je sais que j'zi mis pas mal de pour poster celui la mais j'avais pas toujours le temps, pas trop d'inspi et un peu de flemme donc voila.
Bisou ♡