Elle...

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Je suis mal, de l'avoir un peu abonnée comme un vieux d'échecs mais je ne comprends pas comment elle a pu dire qu'elle ne pouvait pas me répondre alors que le matin même je l'ai vu appuyer sur les touches de son phone pour répondre à je ne sais qui, mais qui à l'aire de lui faire plaisir plus que moi. Je sais très bien que je suis en train de faire une crise stupide,mais tempis même si je me fais moi même chier. Je décide de faire autre chose, j'alterne entre la télé et les réseaux sociaux. En espérant que sa passe vite, que je mange et que j'aille à nouveau me coucher.
J'arrive pas à fermer les yeux je m'en veux tellement de tout ce que je lui ai dit. Ça me contrarie, pourtant je n'ai rien fait de mal a pars éviter de me faire cramer et de créer des problèmes. J'ai beau me dire cela j'ai l'impression que ça ne suffit pas.
J'ai passé un bon moment à me dire que je n'ai fait que ceci pour mon bien, de toute façon, c'est fais je ne peux pas faire machine arrière.
Je décide de me détendre un peu, j'enfile des habits de sport mes chaussures. Puis descends courir dans les rues désertes. Ça fait du bien de respirer l'air fraie, et de ne penser à rien qu'à courir bien droit. Je vois les maisons éclairer à l'intérieur les gens bouges discute et son heureux. Il y a de la vie, ils sont heureux. Je reprends ma course plus déterminée à faire évaporer toute ses choses négatives qui font partie de ma vie.
Je cours depuis bien trente minutes, je suis passée dans un autre quartier de ma ville. Ce ou les gens non pas peur de s'acheter des voitures, des maisons et je ne sais quoi de luxe. Je suis émerveillée par toute cette splendeur, je décide donc de courir plus loin même si je ne connais aucun chemin par ici. Faut dire que je n'ai jamais eux le courage de m'aventurer vers ici. Je ne suis pas de leur niveau de toute façon.
Je rentre chez moi essoufflé de ma longue course, je me suis perdu deux ou trois fois quand j'ai voulu rentrer. Je monte pour me doucher, puis aller me coucher. Je n'ai pas tellement faim ce soir, je verrais pour manger un peu plus demain matin.
Je me réveille la tête à l'ouest mais avec une faim de loup, je m'habille vite puis descends en bas. Je mange des tartines et une salade de fruit que ma mère à dû me préparer hier soir.
Elle: Tu nem'as pas parlé de la soirée, j'ai l'impression d'avoir fait quelque chose de mal. Je m'excuse si c'est le cas. Je veux juste avoir de t'es nouvelles.
Elle veut de mes nouvelles, je suis sous le choc, je manque de m'étouffer avec ma tartine en bouche, je décide de lui répondre vite et la rassurer.
Moi: T'inquiète,tu n'as rien fait de mal, j'étais juste mal à cause d'un truc. Mais me re-voilà, tu es rassurer ?
Elle ne me laisse même pas le temps de finir ma tartine quelle me répond déjà.
Elle: Ouais ça fait du bien que tu me reparle. Je croyais vraiment que j'avais quelque chose de mal.
Moi: Mais non t'inquiète.
Elle: Bon je te laisse, je vais me préparer.
Je la laisse puis vais trouver vite de quoi m'occuper le temps quel'heure que je parte s'affiche sur la montre.