Chapitre 3

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Quelques mois avant, dans une chambre du château de la Reine Julia, Juliette se réveilla.

-La Reine Julia : Juliette, ma très chère fille.
-Juliette : Mère...
-La Reine Julia : Tais-toi !!! Tu m'as trahi.
-Juliette : Vous êtes un monstre.
-La Reine Julia : On dit que la nuit porte conseil. Demain matin, tu me diras où tu as envoyé ton frère.

Le lendemain matin.
-La Reine Julia : Alors ?
-Juliette : Je l'ai envoyé chez le Roi Gaspard.
-La Reine Julia : Pourquoi ?
-Juliette : Parce que c'était un frein pour mes pouvoir, il était trop faible. La bas il mourra.
-La Reine Julia : Je te reconnais bien là. Ma fille adorée.

...

Flashback :
-Bonjour.

Une petite fille de 10 ans monta sur un rocher en disant bonjour à la mer.

-Je t'ai vue, ne te cache pas, je ne vais pas te faire de mal.

Une petite tête sortie de l'eau, elle avait une queue de sirène.

-La petite fille : Tu es une sirène ?
-La petite sirène : Ne me fait pas de mal.
-La petite fille : Mais pourquoi dis tu ça ?
-La petite sirène : Mon papa il a dit que vous mangez les poissons.
-La petite fille : Beurk. Moi j'aime pas le poisson.  C'est vrai que ma mère aime bien mais moi j'aime pas ça.
-La petite sirène : C'est vrai. Je m'appelle Clotilde et toi ?
-La petite fille : Juliette. Mais si ton papa il a dit qu'on était dangereux, que fais-tu là ?
-Clotilde : Je veux être comme toi. Une humaine.
-Juliette : Moi je suis pas une humaine.
-Clotilde : Ha bon ! Tu es quoi alors.
-Juliette : Je suis une ailée.
-Clotilde : C'est quoi ?
-Juliette : C'est une personne avec des pouvoirs et des ailes. Mais il faut pas le dire, car ma maman m'a dit que les ailées avais disparu. Donc je lui ai pas dit que j'en étais une.
-Clotilde : Mais tu n'as pas d'ailes.
-Juliette : Si mais elles sont ranger. Tu veux les voir ?

Clotilde dit oui de la tête. Juliette déploya ses ailes, c'était des ailes d'oiseaux immense, noir avec une ou deux plumes blanche. Clotilde était fascinée. Mais elle ignorer qu'elle était la première à les voir, Juliette ne les avait montré à personne.

-Juliette : Tu veux avoir des jambes ?
-Clotilde : Ho oui !
-Juliette : Demain, revient ici, je sais que ma mère a une potion pour ça. Je peux te la donné si tu veux.
-Clotilde : Ho oui ! Stp.

Le lendemain matin, Juliette et Clotilde se sont revus. Clotilde bu la potion en ignorent que c'était que de l'eau et qu'en faite, c'était Juliette qui la rendait humaine. Juliette lui donna des vêtements.

-Juliette : Je suis désolé mais tu peux pas resté avec moi. Ma maman veux pas que j'ai d'amie.
-Clotilde : Mais comment je vais faire ?
-Juliette : Tu prend la route qui est la et tu continue jusqu'à un grand château doré. C'est celui du roi Gaspard. Tu verras, il est très gentil. Tu lui dit que tu n'as plus de chez toi et il t'accueillera.

Juliette lui tend un sac avec d'autre vêtements et une photo d'elle.

-Juliette : Comme ça tu m'oublieras jamais.
-Clotilde : Merci, merci, et encore une fois merci. Tu réalises mon rêve.
-Juliette : Juste, je peux te demandé quelque chose ?
-Clotilde : Oui bien sûr.
-Juliette : Tu peux ne parlé à personne de mes ailes. Ou alors tu dis que c'est des ailes de papillon, ça y'en a plein qui en on.
-Clotilde : D'accord.

Elles se prirent dans les bras et s'éloignèrent chacune de leur côté.

Les tripletsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant