Chapitre 6

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Mes yeux.
Ils restent ouverts.
Quoiqu'il arrive je ne dois pas m'endormir. La fatigue pèse, elle tire mes paupières vers le bas.
Minuit,
Enfin c'est l'heure.
Je me releva aussitôt du lit espérant que Sans ne se réveil pas. De toute façon, ce n'est pas comme ça qu'il va se réveiller.

Je rassembla alors mes affaires priant pour que personne ne me surprennent. Je descendis, passant le cadre de la porte et partis refermant le plus doucement possible la porte.
Personne ne m'avait entendue.

Je me retrouvais à marché dans tout l'underground enquête de retourner voir maman. J'étais mal, je sentais bizarrement que ce que je faisait était mal mais je ne savais pas pourquoi.

J'avançais, mes pas ralentissaient, mes paupières se fermaient et se recouvraient aussitôt tant dis que mon corps s'affaissait. Bientôt, je m'écroulais dans la neige.
Mon corps gelait petit à petit :
Mes doigts, mes jambes, mon buste et bientôt ma tête.

Tiens, me croyant morte, je ne vis pas la lumière blanche habituelle de la mort, non, quelque chose me maintenait en vie.
Certes, j'étais en vie mais j'étais toujours incapable de prononcer un traître mot ou encore ouvrir une paupière. Donc, je ne vis pas mon sauveur, dommage.

Quoiqu'il en soit, quelqu'un m'avait bien sauver la vie car quand mes yeux se sont ouverts je n'étais point dans le froid

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Quoiqu'il en soit, quelqu'un m'avait bien sauver la vie car quand mes yeux se sont ouverts je n'étais point dans le froid. Je me retrouvais dans des draps, de beaux draps violet et blanc. C'était les seules couleurs que je pouvais apercevoir.

???: MAMAN ! Frisk se réveil !

Je suis toujours incapable de parler mais se qui est sûr c'est que je n'ai pas besoin de demander à cette personne qui elle est. Bien-sûr, la chambre me paraissait beaucoup trop brumeuse pour que je puisse apercevoir quoi que ce soit. Juste une forme se dessinait petit à petit devant moi:
Des cornes, de médiocres oreilles qui retombe, un sorte de robe, probablement une tunique.
Oui, c'est bien lui, mon petit pleurnichard de frère.
J'ouvrir la bouche, par chance des mots en sortit:

Frisk: Asriel ?

Je reconnaissait cette forme et cette voix mais quelque chose en moi fit que je posait la question. Peut-être un 6ème sens ou quelque chose du genre.

Le brouillard se dissipa au même moment, Asriel me pris dans ses bras.

Asriel : Alors, Enfin debout la belle au bois dormant ?Frisk: tais-toi donc Asri-chou

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Asriel : Alors, Enfin debout la belle au bois dormant ?
Frisk: tais-toi donc Asri-chou. Dis-je en ricanant.

Toriel entra peut après l'appel d'Asriel et me caressa les cheveux aussitôt.

Toriel: Mon enfant ! Que faisais tu allonger devant la porte à une heure si tardive !
Est-ce que tout va bien au moin ?
Tu n'es pas malade j'espère !
Frisk: Non, non, tout va bien maman ! Je voulais revenir au château mais je me suis assoupis.
Toriel : Bon, j'ai fais de la tarte, vous en voulez avant que vôtre père la mange ?
Asriel: avec plaisir !
Frisk: Eh bien, pourquoi pas !

Je me leva du lit avec l'aide de maman et Asriel puis descendis à la salle.
Je mangeais tranquillement tandis qu'Asriel engloutissait sa part et que maman faisait la moral à papa.

Soudain, on vint toqué à la porte.
Mon coeur se mit à battre très vite pendant qu'on arrêta toutes activités. Toriel se dirigea vers la porte.

Qui cela pouvait être ?

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