La poésie du lundi soir

Juste amis

Juste amis, j'espérais mieux, je visais plus haut mais je suis loin, loin de toi, de ton cœur et de tes pensés. Juste une personne, une connaissance dans tes amis, juste un nom dans tes contact avec un bisou à côté, juste une ombre qui t'observe de loin. Juste des discussion par message car j'ai peur de toi, des autres et de moi. Je t'aime de loin, comme un oublier, qui rêve de toi tout les soirs, qui espère à chaque sonnerie que tu aborderas le sujet, petite espérance qui me raccroche à la raison, a la vie, petite étincelle qui fais battre mon cœur essouffler et épuisé qui t'aime malgré tout, qui supporte les souffrances et les déceptions dans l'espoir de pouvoir être le sujet d'un de tes rêve, l'une de tes pensé, d'être la cible d'un regard que je pourrai renvoyer, voir la couleur de tes yeux...

Mais je sais au fond de moi que c'est fini depuis que je t'es vue, un amour mort né que je porte toujours, dont l'espoir me fais me mentir. Chaque fois que je te vois, je me hais un peu plus, de ne pas aller te voir, affronter les autres, t'affronter. J'imagine l'impossible pour être déçu, je me fais mal tout seul à garder ce stupide espoir. L'espoir fais vivre, l'espoir fais souffrir, l'espoir fais mourir. Chaque discussion terminé par un bonne nuit ironique, qui fait mal, pour passé une autre nuit à penser à toi, a me dire que c'est trop tard, que j'ai laissé passer ma chance. Juste amis, juste un signal, juste une parole... Tu dois bien rire, quatre ans que je suis la sans l'être, à t'envoyer des messages, à espérer l'impossible, à le demander. Un ami virtuel, qui ne te connais pas quand il vie. Amis par message, inconnus ensuite.