Repos éternel

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Ma tête, une douleur lancinante.
Je pose le canon sur ma tempe, et je caresse la détente,
Je presse la gâchette,
Pour trouver le repos, ma cachette.

J'irai quelque part dans l'univers,
Pour trouver le sommeil.
Mon corps, six pieds sous terre,
Je dis adieu au réveil.

Le repos éternel,
Dans un lit fait de néant.
Une couverture d'herbe et de pierre qui se mêlent,
Et un matelas de terre, dont je fais partis à présent.

Quitter la vie, un perpétuel combat,
Se battre pour rien, je baisse les bras.
Ma vie ne mène à rien, un perpétuel renouvellement.
Alors autan en finir maintenant

La poésie du lundi soirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant