Jeune écuyer,
Cherchant un royaume où s'installer.
Vit une plaine verte, pleine de vie.
Ici habitait la princesse de mon esprit.
Ne voulant pas la guerre,
Il alla la voir pacifiquement.
Laissant son épée à terre.
Il s'adressa à elle galamment.
Il lui demanda quel note lui mettrait elle sur cent.
Elle lui répondit trois pour-cent.
Ces amies riaient, et lui disaient que je n'avais aucune chance.
Reprenant son épée et sa lance.
Il galopa vers le combat
Avec pour quête de conquérir le royaume de son cœur.
Il combattait avec vigueur,
Jeune écuyer deviendra roi.
La bataille fut terrible,
De nombreuse perte de chaque côté,
Sur les bras, dès blessure horrible,
Qui jamais ne cicatriseraient.
Sans le vouloir il avait blessé la dame,
Il avait blessé son âme.
Il décida qu'il avait fais suffisamment de mal,
Et rentra en laissant son cheval.
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La poésie du lundi soir
PoetryInstallez vous confortablement dans votre siège et préparez vous, L'avion inter-stellaire va décoller dans quelques minutes. Déconseiller aux personnes souffrants du mal des transports.