La veille du mariage, les mariées s’étaient réunies chez la famille Natatou pour la cérémonie du henné.
-Zarah, viens t’assoir ! Ordonna sa belle sœur, Aïcha.
- Désolée mais j’ai beaucoup de chose à régler.
- Cela peut attendre, assieds-toi!
-D’accord, mais je veux quelque chose de simple, céda t-elle.
Elle lui avait faire du genre traditionnel mais c’était magnifique.
-C’est magnifique, tu t’es surpassée fatima ! Déclara Samira en regardant les mains de Zarah.
Avant qu’elle ne réponde, Asma, la sœur de karim fit son apparition. Elle se jeta sur Zarah en criant comme une folle.
-Je suis aussi très heureuse de te voir mais là tu m’écrase, déclara Zarah.
-Désolée, c’est l’émotion ! Dit-elle en se levant.
-Quand êtes-vous arrivée ? Demanda Zarah en la serrant des ses bras.
-A l’instant, où sont les mariées ?
- C’est maintenant que tu t’es souvenue de nous ? Demanda Leila.
-Leila, Samira, cria t-elle en se jetant sur elles.
Elle salua Sana chaleureusement. Après ces moments de joie, Zarah les quitta pour aller saluer les parents de karim.
Elle rencontra karim en chemin, il la regarda de la tête aux pieds comme s’il la voyait la première fois.
-Tu nous apportes à manger ! Ordonna t-il en détournant le regard d’elle.
-Que voulez-vous manger ?
-Peu importe, dit-il en la quittant.
Karim restera toujours un mystère pour elle.
-Comment va ma maman préférée ? Demanda la jeune fille en faisant un gros câlin à la magnifique femme qui parlait avec sa mère.
- Tu m’as beaucoup manqué ma chérie ! Dit-elle la serrant dans ses bras.
- Zarah, laisse-la au moins respirer ! Déclara la mère de Zarah.
- Fatima, elle ne me dérange absolument pas.
-Tu ne la connais pas, elle ne te laissera pas respirer, déclara Fatima qui quitta la pièce, appelée par son mari.
-Pourquoi mon gendre n’amene-t-il sa dot ? On aurait célébré ton mariage avec celui de tes frères et sœurs.
-Je ne suis pas prête pour cela, maman.
-L’homme propose, Dieu dispose, ne l’oublie pas ma fille. Tout ce qui t’arrive, prends le comme la volonté du tout puisant.
- In sha allah, maman.
- Karim ne t’avait pas demandé quelque chose ?