Salam aleykoum
Le soir même, Karim vint à la maison.
Pour saluer ses parents, avait-il prétendu.
Les regards qu'il lui lançait, furent comprendre à Zarah qu'il avait quelque chose derrière la tête.
Aussi tôt le dîner terminé, elle courut se réfugier dans sa chambre craignant le pire.
Elle prit une douche et s'installa sur le lit pour sécher ses cheveux.
La porte s'ouvrit et se referma doucement.
-Asma, j'espère que ton frère est parti ? Questionna-t-elle croyant que c'était Asma.
-Au risque de te décevoir je suis encore là et je compte y passer la nuit, répondit-il en s'approchant dangereusement d'elle.
- Que fais-tu Karim ? Tu es fou? Paniqua-t-elle en cherchant à lui échapper.
Ses yeux étaient rivés sur son corps.
Elle ne portait qu'une petite serviette attachée autour de la poitrine.
Ses pupilles changent de couleur, ils se transforment en un noir profond avec une lueur chargée d'émotion.
Il avança, elle recula, il la regarda langoureusement une bonne quinzaine de secondes.
Elle voulut fuir mais d'un geste vif il la retint et la plaqua contre le mur.
Que lui arrivait-il ? Elle avait l'impression d'avoir un autre Karim en face d'elle.
- karim ne fait .....
Il la souleva et la coucha sur le lit.
Son large corps l'enveloppa entièrement ; il effleura doucement ses lèvres avec son doigt.
Elle n'arrivait plus à respirer, une chaleur se propagea dans son corps entier.
- Karim ne fait pas ça, quelqu'un peut entrer, dit-elle dans un autre monde.
-Je m'en fiche complètement! Je t'avais gentillement demander de rentrer mais tu as refusée alors prépare-toi à subir les conséquences, déclara-t-il le regard noir.
-Na chiga uku ! Pardon, je ferai tout ce que tu voudras, le supplia-t-elle.
-Kariya kike ay!
Elle se débattait mais dès que la bouche de Karim captura ses lèvres avec violence, elle se laissa faire, le corps tremblant.
Il détacha sa serviette, sa main glissa sur son ventre qu'il caressa puis descendit lentement vers ses cuisses .
Ses lèvres quittèrent sa bouche pour descendre vers son coup doucement puis ses seins.
-Tu m'as tellement manquée: ta peau si douce, ton odeur si particulière, tes lèvres tellement exquises,embrassa-t-il chaque partie citée.
Elle ne pouvait plus parler, elle sentait son cœur battre à une vitesse incroyable.
-Je t'aime Zarah, dit-il doucement comme une caresse en la regardant dans le yeux.
En ce moment là, elle comprit qu'elle n'avait plus mon mots à dire............
Elle était à bout de force. Elle était tellement fatiguée qu'elle n'arrivait plus à ouvrir les yeux.
Elle sentit les lèvres de Karim voyagées sur son corps mais ne bougea pas.
- Je sais que tu ne dors pas, ouvre les yeux ! Dit-il sans que ses lèvres ne quittent son corps. Il te reste encore un round avant farj, dit-il prenant un air sérieux.
