Podrick Payne - Les leçons du maître pt. 1

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Note : pardonnez moi pour la petite taille de cet imagine, je compte me rattraper sur la partie suivante

Podrick leva les yeux au moment même où tu entras. Il avait fini par mémoriser chaque moments où il pouvait avoir la chance de poser les yeux sur toi. Il savait bien que si tu apprenais qu'il connaissait par coeur tes horaires d'entrées et de sorties des appartements de lord Tyrion tu serais effrayée.

Il t'épia aussi discrètement qu'il lui était possible alors que tu allais et venait d'une pièce à l'autre. La douceur de tes traits et des mares de marbre et d'acier de tes yeux, la façon dont tes cheveux flottaient et ondulaient en vague de bronze, tes formes joliement, finement arrondies, ton sourire d'ange; tout le fascinait, émantait ses yeux à ma jeune servante toujours aimable et gracieuse que tu étais.

Mais chaque fois que tu levais les yeux vers lui, les siens fuyaient, ses joues se teintaient de rose et il se voyait incapable de réprimer complètement le sourire qui étirait ses lèvres.

Ceci n'avait pas échappé au regard de lord Tyrion.

"Elle te plait, sourit-il à l'intention de Podrick une fois que tu fus partie.
-Qui donc messire? s'enquit l'écuyer avec un embarras mal dissimulé.
-Cette jeune servante, je ne connais pas son nom, celle avec de longues boucles châtain et les yeux gris, décrivit lord Tyrion.
-Je ne vois pas ce qui vous fait dire cela, rougis alors Podrick.
-Enfin Pod, rit la main du roi, tu oses me mentir? A moi qui suis si bon avec toi?
-Je ne vous...
-Viens t'asseoir, il faut qu'on en parle."

Ainsi, les joues écarlates, regardant le sol, Pod vint s'asseoir à la table de son maître qui lui servit une coupe de vin. Il avoua alors comme son coeur battait vite et fort chaque fois qu'il t'apercevait, comme il souhaitait que les quelques conversations qui vous aviez eues aient pu durer une éternité, comme il aimait ton sourire et ton aura de pureté, comme il était fasciné par la douceur de tes yeux alors qu'ils avaient la couleur de l'acier, comme il avait du mal a détaché ses yeux de ta silhouette, comme il avait finit par retenir chaque moment où les dieux lui accordaient le plaisir de te voir.

"Comment... comment te sens-tu lorsqu'elle te sourit? l'intérogea lord Tyrion une fois que Podrick eut finit de parler.
-C'est comme si tout mon être fondait de l'intérieur pour se transformer en miel messire", sourit timidement Podrick.

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