une vie un peu compliquée

la création d'un cocon

Ça faisait maintenant 6 mois que Aline avais jetter Tony dehors. La vie de Gabe étais déjà totalement chamboulée. Elle n'avais plus le moindre contact avec son père car sa mère l'en empêchait. Kelly travaillais Au cinéma de la ville pour payée ses études en archéologique, Jordan s'était engagé dans l'armée de terre et Cindy vivais chez leurs grand mère maternelle, et revenais le week-end seulement. Gabrielle étais très souvent seule mais ne réclamait aucune compagnie. A l'école ses notes avais chutée, et elle avais abandonné ses amis. Elle s'était forgée une carapace solide et impénétrable, dans la quelle elle s'était enfermée. Elle étais devenue très solitaires et hormis à ses frère est soeurs elle ne parlais que très rarement.
Aline montrais enfin son vrai visage à sa dernière enfant. Cette femme folle, violente et droguée. En effet, c'est la que Gabe découvrit la surconsommation de Morphine de sa mère. Cette dernière, trouvais toujours de bon stratagème pour s'en faire prescrire toujours plus.
Parfois, elle en abusais beaucoup trop, et elle se mettais à délirer. Se discutions était insensée, elle parlais de bassin de truite au milliers de leurs salon, d'homme transpercé par des bout de bois, de bestioles enfermée dans des cages au dessus de son armoires.. ce genre de choses. Et si Gabe avais le malheur de lui faire remarquer ses délires, la violence rendais le contrôle. Aline avais tout fait, elle avais tentée de noyée Gabe, de l'étranger, de l'étouffer, de la planter et même de la brûler avec es cigarettes. C'était ça qui était à l'origine de la solitude permanganate de l'enfant. Ça et là décision d'engager des poursuite judiciaire lors du premier mois de la séparation, pour que Tony ne puis plus l'approcher, elle et ses enfants. Ce qui avais également causé la fermeture du gare VW Reparts. C'est pourquoi Gabe haïssait cette femme. Elle détruisait sa vie de jour en jour.
Puis vint enfin ce jour merveilleux, ou Jordan rentra enfin de mission, après 6 mois en Martinique. C'était un vendredi soir. Kelly, Jordan, Cindy et Gabe était enfin tous réunis pour la première fois depuis 6 mois. Ils prirent ensemble la décision de passer le week-end chez leur grand parents paternels, la ou vivais leur père, sans en parler à Aline. La petite dernière étais ravie. Revoir enfin don père étais juste merveilleux.
Kelly prévenait son oncle, qui vivais aussi la bas. Ils avais décidé de faire la surprise de leurs venu à leur père.
Le lendemain matin, peu après que Tony parte a son nouveau travail dans un karting très peu connus, les 4 enfant arrivèrent chez les grands parents.
La journée fut longue pour Gabe, l'ennuie et l'attente permanente d'enfin revoir son père étais pesant.

17h30. Jordan entendais la porte s'ouvrir. Ils étais tous caché un peu partout dans le salon. Tony entra, se déchaussas et salua ses grand parents. Il semblait abattus, tout ses gestes étais lent. Il respirait la détresse et la déprime. Silencieusement, les 4 enfant sortirent de leurs cachettes, se rejoignait, et arrivais directement derrière leurs père, qui ne les avais toujours pas remarquer.
Gabe prit la parole, d'une petite voix, arrivant difficilement à parler tant elle étais heureuse.

- B-bonjours papa. Dit elle d'une toute petite voix.

Tony se retourna. Les yeux pétillant  il aperçus ses enfants tous présent. Les larmes lui montèrent au yeux. Tous se prirent dans les bras. Les larmes se coulaient à flot pour Gabe et son père. Les autres étais sans doute plus fort mais la joie se lisais tout autant sur leur visage. Après ça, le week-end étais passé très vite, et sans même s'en rendre compte Gabe étais de nouveau en voiture vers l'appartement de sa mère. Toute la joie accumulée en ce beau week-end, s'échappa. Devant la porte de cet endroit maudits, l'enfant blocas. Elle étais bien obliger d'entrée, mais son corps lui même ne semblais pas prêt à passer le seuil. Elle fini par entrée accompagnée de ses frère et soeurs.
Elle allat droit dans sa chambre sans même saluer sa mère. C'est la quelle réalisa, en voyant son calendrier fixer au mur, que son anniversaire aurais lieu dans une semaine. Le 11 décembre, cetera date qu'elle avais toujours impatiemment attendue, ne lui faisais même plus envie.
Elle réfléchis un instant, puis réalisa que c'était l'occasion de forcer sa mère à la laisser voir son père quand elle le désirais. Mais rien ne lui certifiais qu'elle accepterais.
Les jours passais, lentement, puis le 10 décembre arriva. Aline entrain dans la chambre de Gabe de bon matin, lui demandant joyeusement ce qu'elle voudrais faire le lendemain. La réponse fut nette, précise et froide.

- Je veux voir papa. Quand j'en ai envie.

La mère la regardais avec de gros yeux. La détermination de sa fille était impressionnante, cependant elle ne comptais pas la laisser faire.

- C'est non. Autre chose?
- Ne plus jamais te voir peut-être? Répondit calmement Gabe.

Aline étais choquée. C'était la première fois qu'elle voyais sa cadette se rebeller de façon si distincte. Elle partis simplement, ne voulant pas clore cette discussion.
Gabrielle pourtant, étais certaine de ne plus vouloir passer la moindre minute ici. Cet enfer ne pouvais plus durer. Elle demanda à ses soeurs de l'emmener voir Tony le jours d'après. Bien sûr elles ne pouvais pas refuser elles. Gabe alla donc revoir son père en cachette, toujours accompagnée de ses soeurs. Elle décida de se confier à son père. Pour la première fois elle racontais toutes les horreurs que sa mère lui faisais subir au quotidien. Elle lui expliqua à quel point elle en avais marre et surtout qu'elle rêvais de vivre avec lui. Malheureusement ce n'étais pas encore possible car la petite n'étais pas en âge de faire un choix au yeux de la loi.
La soirée fut amusante, Tony avais commander un somptueux gâteau d'anniversaire à l'effigie de Spyro, qui étais le personnage de jeux vidéo préférer de Gabe.
Mais les bonnes choses ont une fin, et cette soirée se termina rapidement. Le retour à la réalité étais violent. Gabrielle se retrouvais encore face à cette porte. Elle avais toujours l'impression d'entrer en enfer. Elle ouvrit et entra, découvrant sa mère allongée sur le sofa, l'air plus ou moins endormie. Sans réfléchir l'enfant part se coucher. Mais ce soir là elle ne dort pas. Elle imagines ce que serais sa vie si rien n'avais changer. Elle imagine une belle famille, s'amusant ensemble avec leurs 2 petit chiens. Ses images la font pleurer, et lui permettent enfin se s'endormir, l'esprit troubler.