Chapitre 4 partie A.

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Une énorme douleur se fit ressentir dans ma cuisse. J'ouvrais les yeux, gémissant de douleur, je ne m'étais même pas rendu compte que je les avais fermé.

J'étais allongé dans mon lit, mon agresseur au pied du lit avait cessé tout gestes et ne prêtait attention qu'a moi.

"Je me suis jamais autant évanouie de ma vie" murmurais-je pour moi-même.

Un rictus apparue sur les lèvres pulpeuse du bouclé.

Plusieurs compresses ensanglantés trainé par terre, je reviens a la raison. Ma cuisse. Mon agresseur avait un petit ciseau dans les mains. Mes yeux s'agrandirent.

"Tu t'es fais tiré dessus." il répond a ma question avant que je la pose.

Je me souviens du cri de ma mère et de la douleur dans ma cuisse avant de tomber dans les pommes.

Je soupirais bruyamment, en ayant assez de me retrouver toujours avec quelque chose.

Je le regardais, observant ce qu'il me laissait voir sous son foulard. Ses yeux étaient remplis de compassion, il ne semblait vraiment pas vouloir être ici. Je suis quasi certaines qu'il préférait sortir avec des amis au lieu de faire je ne sais quoi avec ma jambe.

"Que fais tu?" demandais-je, lassé.

"J'essai de retirer la balle avant que ça s'infecte." Il haussait les épaules.

"L'hôpital ne serait il pas mieux qualifié ?" Je fronçais les sourcils, et si il ratait et que je mourrais?

"Disons que je suis l'hôpital. Je fais des études en médecine."

"Alors qu'est ce que tu fous ici?"

"Je te l'ai déjà dis. tiens, mord dedans" dit il me tendant un coussin.

Je ne comprenais pas jusqu'à ce qu'il replante les ciseaux dans ma chaire taillé. Il haussa un sourcil après m'avoir entendu crié et je me précipité sur le coussin ou je pouvais extériorisé ma souffrance.

Il ne s'arrêter que pour sortir des bout de balle en plissant des yeux. Après quelques minutes d'horreur, il retira le cylindre en métal ou je ne sais quel autre matériaux, et je soupirais de soulagement.

J'enlevais d'un coup violent l'oreiller, le lançant au bout de la pièce. J'étais essoufflé, d'avoir hurlé, j'en avais mal a la mâchoire.

"Il a rien dis?" je demandais, faisant référence a mon père.

Il serra les dents, se pinçant les lèvres avant de faire un signe négatif de la tête et d'attraper un bandage.

Je soufflais, douloureusement tandis qu'il le serrait.

"Quand, tes amis m'ont tiré dessus, il, il a rien fait? rien dit?" ma voix était tremblante.

"Tu veux la vérité?"

"Je ne sais pas" ai-je soufflé.

Il sourit doucement, avec un regard remplit de compassion, puis, en finissant mon pansement il reprit d'une voix douce.

"Il a fermé les yeux, ta mère hurlait, elle lui hurlait de tout dire pendant que John menaçait de te tiré une balle dans la tête, mais il a simplement fermé les yeux. Il a rien dit, il n'a même pas hésité, il n'a même pas pleuré. Il a juste fermé les yeux et a attendu."

Mes larmes ont coulés toute seule pendant que je réalisé que mon père préférait me voir mourir, au lieu de leur dire ou se trouvait ce que ces imposteurs cherchaient.

"Ou-es Alix?" ma voix était tremblante, les émotions a fleur de peau.

"Elle dort, Niall s'occupe d'elle. c'est un bon type" a-t-il reprit après avoir vu les yeux s'equarquiller.

"Je peux la voir?"

"Tu devrais évité de trop marcher, voir pas du tout. Tu risquerais d'aggraver ton cas." il me sourit doucement, piteusement.

"Quand est ce que je la verrais? je veux voir ma petite soeur." ralais-je.

"Arrête de faire ton enfant, ce n'est pas le moment de faire ce caprice, elle est sûrement plus en sécurité avec Niall, qu'avec toi."

je sanglotais doucement, je voulais retrouvé ma vie d'avant, et ce type, il semblait changer d'humeur, je ne savais pas ou me mettre. Il, il est tellement imprévisible.

Un grand type, châtain, le regard dur et des yeux noirs arriva dans ma chambre. Il me regarda de la tête au pied, un léger sourire au lèvre. Je me rendit compte a ce moment que j'étais en culotte. Ce type, mon agresseur, il m'avait déshabillé. Mon coeur de mit a battre si fort que je suis quasi certaine que tout le monde l'entendait battre a une vitesse folle.

Le châtain détourna le regard de sur moi quand le bouclé se mit a grogner, pour attirer l'attention. Harry avait toujours son foulard qui cachait le bas de son visage, tandis que certains l'avait déjà enlevé.

"Harry, faut qu'on parle. "

Harry, mon agresseur s'appelait Harry.

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Voilà mon chapitre numéros quatre, je ne sais pas s'il est court, je pense même. Mais vaut mieux ça que rien? :)

J'espère que ce chapitre vous aurez plu, sincèrement. Je vous avoue avoir eu du mal a l'écrire, et je m'excuse des possibles fautes d'orthographes, j'écris via ma tablette, et le t9. Puis, je ne fais pas très attention non plus. :(

Excuseeez-moooi. ! Je vous souhaite une bonne nuit, ou une bonne journée mes petits choux. ♥♥

(Continuez de voter ou de commenter, ça fait toujours plaisir. ♥♥♥✳)

Dark LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant