22. mardi partie 1

1.3K 94 25
                                    

PDV MAVIS

Je me réveil et descend me faire un bon petit déjeuner. Mais a peine fini je n'ai pas le temps d'y goûter que l'on sonne a ma porte. C'est donc un petit peu tristounette que je pars l'ouvrir. Et la ma respiration se coupe et les battements de mon coeur se stop.

Moi: Z-zeleph?

Zeleph: ...salut. Sa fait longtemps...

Sa voix n'a pas changé, toujours cette tristesse infinie qui reçort. Mais je n'en tient pas plus compte car mon coeur c'est remis a accélérer et mon cerveau semble s'être reconnecter. La colère prend pars de tout mon être. Et moi, de nature si calme et posé, me voilà qui le gifle avant de me mettre a hurler:

Moi: TU TE FOU DE MOI? JE TE RAPPEL QUE TU A TENTER DE ME TUER LA DERNIÈRE FOIS L'ON C'EST VU!!

Zeleph: je le sais... C'est impardonnable mais je n'était pas complètement moi.

Moi: j'en ai rien a foutre. Precht m'a raconter comment tu a balancer mon corps devant sa porte comme si je n'était qu'un vulgaire déchet.

Zeleph: si tu savait comme je regrette. J'ai changé-

Moi: j'en ai rien a faire. Tes larmes ne fonctionne pas avec moi. Va t'en et ne revient plus.

Zeleph: Mavis s'il te plais j'ai besoins de t-

Je claque la porte et la verrouille. Je laisse mon corps glisser le long de la porte et une fois assise les larmes s'échappe d'elle même. Pourquoi revient-il? Je n'avais pas besoin de sa.

Quelques minutes après je reprend mes esprits et part prendre une douche. Je mange mon petit déjeuner maintenant devenu froid, puis une fois que je suis totalement prête je m'entraîne a faire mon éternel sourire malgré que je sois perturber et bouleverser part la venu de Zeleph, puis je monte dans ma voiture et je me dirige vers le lycée, mon lieu de travaille.
Dans ma classe je corrige quelques devoir avant que le premier cour ne commence puis on frappe a la porte de ma classe.

Moi: entrer !

J'entends la porte s'ouvrir tout en étant toujours pencher sur mes documents. La personne referme la porte mais ne semble pas vouloir s'exprimer. Je relève donc la tête et tombe dans ses yeux noir.

T-tu m'a suivit?

Zeleph:... Oui... Il faut que je te parle.

Moi: non. Non sort d'ici. Je ne veux plus rien avoir a faire avec toi.

La Lumière dans l'obscurité.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant