J'hocha la tête et lui fit une tape à l'épaule.
Moi : T'en fait pas pour ça, j'ai pas peur d'eux.
Nina : Arrête June, ils sont..
Je l'interrogea du regard.
Nina : Dangereux, ils frappent sans réfléchir, alors j'adore ton caractère hein, un peu rebelle, qui se laisse pas faire, j'adore mais...avec eux ça le fera pas. Promet moi que tu feras attention?
J'hallucine elle était vraiment appeuré, ils sont fou à ce point? Wow elle me fait paniqué là, surtout avec ceux qui vient de se passer..
En guise de réponse je lui souris pour la rassurée.
Moi : Bien-sûr, t'en fais pas. Bon y va?
J'enfila mes chaussures et on fila en dehors de l'internat.
C'était 21H le soleil commençait à se coucher.
On discutait, j'adore cette nana elle me fait mourire de rire, elle a du caractère, de la folie, de la gentillesse, tout ça en même temps, puis elle est intelligente.Non sérieux j'aurais eu Laurelyn en colocataire, j'lui aurais déjà arraché ses faux cheveux de barbie pourris là.
Il faisait nuit, l'air était bon. On s'était mis sur un banc d'arrêt de bus, puis d'un coup Nina se retournis tout excité vers moi.
Moi : Wow, qu'est c'ta?
Nina : T'es du genre folle, osée ou reservé ou coincée?
Moi : Moi coincée?
N'importe quoi.
Nina : Tu fumes ?
Puis elle sortie un joint tout en rigolant.
Moi : T'es folle.
Je laissais paraitre un sourire. J'suis pas une droguée qui laisse filer ses études entre ses doigts pour finir à chomé avec une bouteille d'alcool et 50 joints dans la poche hein, mais un joint avec une copine le soir pour décompresser y'a pas mieux.
Je fis une taffe, puis une autre. Et plus je tirais de taffe, plus je me sentis flotter dans mon corps, j'étais bien là, j'avais l'impression de rêver, je sentais mes membres se détendrent, ma langue devenait pâteuse, je rigolais comme une idiote, Nina aussi.
J'étais complètement défoncée, mais j'étais tellement bien, je pensais à rien. J'étais vidée, c'était bon.
Nina : C'est bientôt 22h, faut rentrer avant qu'il ferme les portes.
Tout en zigzagant on se dirigeait vers ClinHill School. Nina tenait sur ses jambes, pas moi. Elle était déjà dans l'internat que j'étais encore à titubé dans la cours. Rhaa elle m'attend jamais celle là.
Puis je vis une silouhette au loin..Sois j'ai une hallucination ce qui serait pas choquant, soit y'a un bien une silouhette familière là-bas. ..ça me parait tellement réel.
Et plus je m'approchais plus je distinguais une silouhette masculine qui se tenait droit devant moi. 15 mètres nous séparaient, puis 10, je pu apercevoir une cigarette à sa main, 5 mètres, je galèrais à marcher c'était horrible.
J'étais à présent devant..lui.