PIERRES GARDIENNES- en réécriture-

chapitre 4

Sarah sortit brusquement de la tour du SENA (de Sinicla). « Apparemment l'entrevu artificiel avec notre père le roi la mise en colère » pensa Luca son frère jumeau.

« -Alooorrrs... ? ça va ? demanda t'il

-NON !!!! Père ne veux pas je parte au champs de bataille, il préfère que je reste ici à m'occuper des armes !!!! Lui répondit sèchement sa sœur

-C'est déjà bien non ?!?Tenta son frère

-TAIT-TOIIII !!!!! Hurla sa sœur »

Luca comprit que la discutions était close et il rentra à son tour dans la tour tendit que la princesse retourna dans sa chambre.

                                                                   ***

Seul les de mes pats résonnent dans les couloirs sombres et déserts du palais .Un cri aussi roc que l'onyx me sortit de mes sombre pensées. En regardant par une des grandes fenêtres je vis, dans un paysage des plus sombres, des plus ostioles et des plus ténébreux mais si chaleureux. Un corbeau au plumes d'un noir si intense qu'il se voyait dans se monde toujours gris et terne. Il vole vers une des quatre tours rouge sang du palais des enfers. Je regarde la place protégée d'un, toit de verre, noir de monde et animée par ce marché constant. Et je ris en voyant un voleur de pomme poursuivi de loin par deux gardes qui n'étaient pas aller se battre à cette foutue guerre qui n'en finissait pas. Plus personnes ne savaient quand elle avait commencé, même le peuple de Sinicla commence à se dire que même si on ne sortaient pas vainqueur de se combat (mais ça voudrai dire renonçait à deux planète) le feu doit cesser car les hommes manquaient au temps à la campagne qu'à la ville.

« -Elle n'est pas prête de ce terminait parole de Sarah » pensée-je en marchent vers mes appartements. Et c'est vrai d'après se que je savait Youkis venaient de se rebeller et ça n'arrangeait pas du tout l'armée siniclonne qui commençait à manqué de soldat. Quand j'ouvris la porte de ma chambre je sursaute. Il y a un homme aux cheveux long, attaché en une basse queux de cheval, seul deux mèches fendait son pale (et entre nous très beau) visage. IL portait un T-shirt gris, un pantalon noir et une veste marron qui lui arrive aux genoux.IL se tenait droit une main sur la table en boit qui me servait de bureau. Je refaire me la porte de la pièce où une douce lumière rentrée par les grandes fenêtres, ma chatte descendit de mon lit à baldaquin, en miaulant, prés de la bibliothèque et vient vers moi, je la prend et demande :

« -Mais qu'es que tu fou dans ma chambre Syn ???!!!????

-J'ai trouvais le moyen de prouvais à votre père que vous êtes TRÈS forte !!Répondit-il avec un large sourire et le corbeau noir se pose sur son épaule gauche, alors je lui fit un de mes plus beau sourire diabolique