Chapitre 28.

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Je descends de la voiture avec les policières et elles m'emmènent dans un bureau fait tout en bois. Je m'assied sur une des chaises en cuir qui est en fasse d'un grand bureau . J'attends que quelqu'un arrive mais rien , un silence des plus sordide mais j'ai déjà vécu plus pire. Je me demande pourquoi il m'ont emmené ici. Je n'ai tué personne à ce que je sache .

Je fus tirée de mes pensées par la grande porte à cotée moi qui s'ouvre sur une femme en blouse blanche et au cheveux noirs de jais . Elle s'assied sur le bureau en face de moi et nous fûmes vite rejointe par mes parents qui s'assied chacun à coté de moi .

- Bonjour à vous alors , on m'a appelé pour Kylie , dit la dame . Kylie peux-tu me dire ce qui t'est arrivé ou pas ? Je secoue de la tête négativement.

- C'est dommage , on m'a dit que tu as une belle voix , je fronce des sourcils Zack m'a déjà dit ça.

- Alors qu'arrivent-ils à notre fille ? demande mon père .

- À cause de ce qui s'est passé durant ce dernier mois , Kylie a comment dirais-je .. pour essayer de survivre a du sympathiser avec son ou ses agresseurs pour se croire partiellement hors de danger, voir changer d'avis les idées de son ou ses agresseurs . Si tout ça débute sur une fraternisation, elle pouvait imaginer sauver sa vie à elle . C'est à cause de son angoisse qu'elle avait essayé de se protéger. En ce moment elle a de la confiance et de la sympathie pour son ou ses agresseurs et elle peut avoir de la résistance pour les forces de l'ordre c'est pour cela qu'on a emmener deux agents sans uniformes et qu'on discute ici . On ne doit pas prendre de risque avec elle. Et que je parle devant elle pour qu'elle sache que nous n'avons rien à lui cacher.

- Comment ont-ils fait pour arrivés à cette étape ? demande mon père ou ma mère , je sais plus , je suis encore concentré sur ce que m'a dit la dame.

- Il doit démontrer que ce qu'il fait à Kylie est juste , il ne doit pas être raciste, homophobe ou contre ou autre avec elle ni aucun sentiments de haines envers elle et puis souvent les personnes qui ne sont pas au courant du syndrome de Stockholm sont plus facilement utilisable.

- Et dans le futur ?

- Du temps .. beaucoup et encore beaucoup de temps et puis elle doit aller voir un psychologue. N'insistez pas. Les personnes atteintes du syndrome de Stockholm ne parviennent pas à voir la complexité de la situation. N'essayez pas de la convaincre de ce qui se passe, ni de la forcer à changer d'avis. Parlez simplement avec elle et expliquez-lui calmement votre point de vue ; vous devez éviter qu'elle s'éloigne de vous pour pouvoir l'aider. Montrez-lui votre affection. Essayez de lui montrer votre amour et faites preuve de retenue. Vous devez lui transmettre de la confiance afin qu'elle ne vous voie pas comme un ennemi. Essayez de rester en contact. Souvent, dans cette situation, la personne affectée a tendance à s'isoler ; il est donc important d'essayer de maintenir la communication. Mais elle ne doit pas se sentir envahie. Cette situation génère souvent de l'impuissance. Il est important de rester calme pour éviter que cette personne ne s'éloigne et nous empêche ainsi de l'aider. Soyez patient, elle vous écoutera si vous lui transmettez de la confiance et de la compréhension. Si Kylie se sent en confiance avec vous, elle parlera de sa situation. Vous devez alors garder un contrôle sur vos sentiments, vous ne devez pas exprimer de colère ou de désespoir. Écoutez-la et lorsque vous le jugez nécessaire, donnez votre avis mais faites attention à la façon dont vous le faites ainsi qu'aux mots employés, pour éviter qu'elle se mette sur la défensive , dit la dame et mes parents défilent les questions que je ne les écoute plus .

- Jade

- Qu'as-tu dit Kylie ? me demande la dame .

- Elle est autant victime que moi, prévenais-je la dame

- On le sait, elle a disparu, il y a plus d'un an 

- Mark, il n'est pas méchant. Je suis la grâce à lui, il m'a aidé

- En quoi il a-t-il pu t'aider ?

- Je suis là aujourd'hui

- Il ne t'a donc jamais fait aucun mal ? me demanda la dame aux cheveux de jais

- Il ne voulait pas me faire du mal, il- c'est de ma faute

- Rien de ce qui t'es arrivé est de ta faute Kylie. Rien.

- C'est faux, dis-je en baissant la tête. Est-ce que je vais être punie ?

- Non, jamais pour ça. Tenez voici mon numéro et Kylie si tu veux venir me parler tes parents ont mon numéros , d'accord ? J'hoche de la tête. Je suis psychiatre, continua-t-elle

- Bon et bien au revoir , nous dit la dame . Mes parents lui disent au revoir alors que moi je ne fais que d'hocher la tête .

On quitte le commissariat pour enfin arriver dehors et je vois une personne de dos que je reconnu aussitôt .


Une balle en pleine tête ( Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant