Ce n'est que rarement qu'il ne frappe.
Physiquement.
Mais constamment, l'Homme agresse,
Mentalement,
Et commet milles horreurs autour de lui, inconscient
De sa misérable vie, de son hypocrisie,
De la souffrance abattue sur le bien pensant.
Moralement,
Chacun peut s'effondrer, regarder son propre reflet
Et voir l'horreur de son aspect,
Monstrueux, défiguré par le mensonge,
Vrai comme l'insuportabilité de ses actes.
On se plaint rarement de la vérité, de ces "honnêtes gens"
Qui regardent le doigt qui montre pourtant
Un monde dément, fou crée par des êtres de sang,
Des horreurs qui en font d'autre, des Monstres,
A la place, chacun se ment.
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Régression sociale; ou la mort morale
PoésieUn conte poétique développé autour du personnage d'un gamin "perdu" et mélancolique. Parfois basé sur des expériences vécues, parfois simplement basé sur mon imagination, mais toujours dans l'objectif d'écrire des choses plaisantes à lire, à défaut...