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Me revoilà (ENFIN) avec la suite. Je n'ai pas eu le temps de corriger, donc veuillez m'excuser pour les fautes et les oublis de mots.

Bonne lecture, des bises !











       

Les vacances venaient tout juste de commencer, mais pas pour moi. Cela faisait désormais quatre ans que j'habitais avec mon petit-ami, cinq ans que nous étions ensemble et un an qu'il était devenu mon patron. Taehyung avait beaucoup changé. Il était toujours ce grand homme charismatique, blagueur et sûr de lui, mais son statut au sein de l'entreprise le rendait inaccessible. Et c'était vraiment excitant de se dire que moi, Jeon Jungkook, pouvait le toucher, le caresser, l'embrasser, quand bon me semblait. Il y a un an, j'avais accepté de dessiner pour l'entreprise familiale, assurant la publicité des produits. À côté, j'avais continué mes études de beaux-arts. Mon père ne me soutenait pas vraiment, mais il ne me traitait plus de bon à rien. Après tout, l'entreprise appartenait toujours à la famille non ? Puisque Taehyung et moi étions dans une relation plus qu'amicale.

Je revins du travail, je n'avais pas croisé mon amoureux aujourd'hui. J'étais un peu déçu mais ce n'est pas grave : je le verrai ce soir à l'appartement. Une chose n'avait pas changé : habillé d'un costume pour l'honneur de la famille et le travail, je ne me sentais pas moi. Dans ma tête, j'étais toujours le gamin de dix-sept ans qui ne voulait pas grandir. Aujourd'hui, j'avais vingt-deux ans, Taehyung vingt-neuf. Mais c'était comme notre premier jour en tant que couple. Nos caresses étaient timides, remplies d'amour et de bonnes sensations.

Mon Dieu, j'étais tellement amoureux de Kim Taehyung.

S'en était moche.

En rentrant dans l'appartement, je déposai mon sac dans l'entrée et refermai la porte. Je n'avais pas de congés pour les vacances de Pâques malheureusement. Je n'ai jamais été un grand travailleur, et ça ne changera pas juste parce que Monsieur Kim est mon patron. Il est très sévère, en fait. Et ce n'est pas parce que j'étais un Jeon ou son copain qu'il allait me traiter différemment. Je me suis déjà fait réprimander bon nombre de fois. J'ai même manqué de me faire virer une fois, parce que j'avais dormi toute la journée dans mon bureau après une nuit très mouvementée avec mon conjoint, pour fêter nos cinq ans ensemble.

Bien décidé à ce qu'il soit de bonne humeur ce soir, je me disais qu'il serait préférable de cuisiner. Je n'étais pas mauvais, mais pas excellent non plus. Je ferais quelque chose de simple, mais qu'il aimait. Et au pire, si je ratais le plat, je pourrais toujours me rattraper sur le dessert.



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Mes mains parcouraient son torse nu et lui, frissonnait. Mes doigts caressaient ses pectoraux alors que ma langue suçait l'un de ses boutons de chair. Il gémissait et c'était un son mélodieux qui emplissait mes oreilles. Ma langue laissa des traînées humides sur son flanc, puis sur son aine. Je sentais ses muscles se contracter sous mes divines caresses. Ses doigts accrochaient les draps blanc, son visage était figé dans le plaisir, son souffle était court et puissant, ses lèvres entrouvertes et son dos arqué. Et ce n'était que le début.

Mes lèvres glissaient contre son corps alors que mes doigts se pressèrent d'enlever le bouton de son jean. Il ne fallut que quelques secondes pour que le vêtement se retrouve au sol. Ma bouche survola la bosse formée dans le caleçon, lui arrachant un soupir de frustration. J'aspirais cette même forme en gémissant, l'excitant d'avantage. Mes doigts s'accrochèrent presque désespérément à l'élastique qui empêchait ce bout de tissu de tomber. D'un coup, je lui retirai. Sa voix rauque due à l'excitation me donnait la chair de poule. Son membre tapait son ventre, terriblement tendu par le plaisir, et ma langue ne tarda pas à s'échouer contre le bout rougi, luisant de liquide.

(3) Le mois d'avril.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant