Le Centre Atlantide

Partie 5

À Prarid, mon terrain de jeu était la ville. Lorsque les soldats de l'ODS cherchaient à m'attraper cela n'étaient pas de tout repos pour eux. Non pas parce que je sais me battre, loin de là mais parce que je suis agile et endurante. Quand j'étais repéré, je me faufilais sous les stands des marchands, sur le toit des maisons, dans les ruelles sombres... Les grands espaces, que m'offrait la capitale, me permettaient toujours de m'en sortir.

Aujourd'hui, je me retrouve, deux fois dans la même journée, enfermé dans une cellule de 8m2 face à deux hommes assoiffés de sex.

- Reste calme ma jolie, tu vas tout simplement faire ce que l'on te dis, sinon on te tura pendant la nuit. Menace Lucas, Axel prend un tissu et se positionne derrière moi pour me bâillonner. Maintenant, tu vas te déshabiller délicatement en nous fesant un show comme savent si bien faire nos putes de Prarid.

J'enlève délicatement mon blouson et le jette sur le lit. Puis un à un, je déboutonne ma chemise, je la laisse glisser sur mes épaules puis l'abandonne au sol. Je me penche afin de retirer les lacets de mes chaussures laissant ainsi pendre mes seins dans mon soutien gorge. Mes codétenus laisse déjà paraître une bosse sous leur pantalon. Je déboutonne mon pantalon, puis je fais dos à eux. Baissant mon jean, je leur montre mes fesses rebondies.
Axel se lève puis vient me dégrafer le haut, dévoilant ainsi ma poitrine. Il enleva ensuite mon tanga. Je suis maintenant nue devant eux.

- Lève les bras. M'ordonne Axel. Tourne sur toi même...Putain que tu es bonne.  Matte moi un peu ça Lucas ! Ça m'avait manqué.

- Elle est carrément bonne ouais! Installe toi au bout du lit, ton buste à plat ventre et le cul bien en l'air.

Je me place comme voulu: mes jambes sont debouts, tendus et mon buste est penché sur le lit, mettant bien en valeur mes fesses. Ils me joignent les mains et me les attaches à l'avant du lit avec une corde. Je suis immobilisée.
J'entends un sifflement puis un claquement et une douleur se propageant dans mes fesses. Je crie de douleur derrière mon bâillon. Je me débat mes en vain.

- Haha tu as intérêt à aimer ma pute ! C'est loin d'être la dernière. Je vais en faire 10. Si on t'entends gémir ou bouger, on recommence. Compris ? Me demanda Lucas.

J'hoche de la tête. Axel me donna un autre tout aussi violent, ils attendent de voir si je  gémi ou si je bouge.

- Et d'un. Compta Lucas.

Il monte crescendo dans l'intensité. Au 8 ème coup, il me claque la corde sur mon intimité, ce qui me procure une sensation de douleur puis de plaisir : je me cambre et lâche un cri.

- Dommage, on recommence !

Ils continuent tout en prenant soin de me laisser attendre entre chaque coup pour mieux me surprendre. Au dernier coup, je failli crier mais je réussi à me retenir.
Axel vient s'assoir auprès de moi, il me caresse le bas du dos.

- Tu dois avoir soif ?

Je secoue la tête de gauche à droite. Il baisse son pantalon et son boxer. Il me retire mon bâillon.

- Oh que si! Tu as soif. Ouvre la bouche et tâche de bien t'y prendre.

Toujours penchée sur le lit, Axel s'allonge et me présente son sexe devant la bouche. Contrainte de l'ouvrir, j'entame des vas et viens. Sa respiration se fait de plus en plus haletante et à peine au bout de quelques minutes il ejacule en moi.

-Vas y boit ! M'oblige Axel en levant ma tête en arrière.

Je manque d'avaler de travers ce qui me vaut des petits toussotements. Il me remet le bâillon sans perdre de temps.

Toujours attachée, Lucas me fait écarter les jambes et touche mon intimité.

- Haha elle est mouillée ma pute! S'exclame t'il

Il décide de m'attraper les chevilles pour faire la position de la brouette. Il me pénètre d'un même et seul coup. Après quelques premier coup de boutoir, j'ai l'impression qu'il me défonce le vagin et me fait me provoque un plaisir intense. Je commence à émettre des sons de plaisirs.

- Ne jouis surtout pas. Ordonne Axel

Je me concentre pour ne pas jouir mais Axel me chatouille le clitoris. Ils vont me faire jouir, ils faut qu'ils arrêtent tout de suite. J'essaie d'articuler pour les supplier de me laisser jouir mais ils font la sourde oreille. Et Lucas s'insère en moi plus profondément et m'autorise enfin à jouir.  Je m'abandonne complètement et lâche mon plaisir.