Le Centre Atlantide

Partie 7

Suivant les gardes, nous nous retrouvons devant l'entrée du bâtiment 10. Les portes sont colossales orné de bas relief représentant des femmes nues. Les gardes me conduisent dans le sous sol de ce gigantesque batiment. Nous nous retrouvons dans une grande salle contenant plein appareils. En approchant de plus près je remarque qu'il s'agit d'instrument de torture. Avant même de réaliser où je suis arrivée, Stanislas, qui m'observait, m'interpelle.

- Mademoiselle Nina, je suis ravi que vous ayez accepté mon invitation ! Cela ne m'étonne pas de vous, je suis sûr que vous avez un côté sado. Dit il sur un ton moqueur.

- Quel humour ce matin Stanislas!  C'est ça tes expériences ? Tester de nouvelles  techniques de tortures ?

-Hum tu es vraiment insolente, je vais devoir te dresser sauvagement. Son ton moqueur à disparu. Je ne fais pas que torturer, je procure du plaisir pour ceux qui le mérite.

- Super! Qu'est ce que je fais là ? Je ne participerai pas à vos expériences de psychopathes.

- Oooh mais ce n'est pas toi qui décide ma jolie. Dit-il en  se rapprochant de moi. Enfermez là avec les autres. Ordonne t'il.

Je suis une nouvelle fois enfermé dans une cellule. Au fond,  les prisonniers convoqué hier, tapis par terre. J'aperçois Anthony recroquevillé.

-Anthony ! Mais qu'est ce qu'ils vous ont fait ? Demandais-je inquiète

Il redresse la tête, essai d'ouvrir ses yeux et me balbutie quelques mots :

- On est des jouets sexuels Nina... Voilà ce que l'on devient en restant ici. Tu es une fille... Il va vraiment t'en faire baver... Enfuis toi dès que tu le peux... C'est un monstre... Un monstre...

Anthony épuisé s'évanouit. Il a des stries rouge sur les bras, le dos... Les autres garçons n'ont pas l'air mieux.
Au bout de quelques heures, les prisonniers sont ramené au compte goutte dans leur cellule. Anthony est l'un des premiers à partir: il est trainé au sol par les gardes.

Je finis par me retrouver seule dans la grande cellule, je repense à ce que m'a dit Anthony puis m'endors sur le sol froid.
Le bruit des clés qui ouvrent la porte me réveille en sursaut. Un homme vient me chercher et me prends par le bras sauvagement pour me lever. Je n'arrive pas à voir son visage dans le noir. Il me fait sortir de la cellule d'un pas pressé tout en prononçant aucun mot. Nous arrivons dans un petite salle où la faible lumière réussi à m'éblouir... je suis déposé sur un fauteuil. L'homme qui m'a déposé s'en va, je lève la tête et aperçoit Stanislas.

Il me tire par les cheveux, je hurle, il me dépose sur une table en bois. Je me débats de toute mes forces mais il est bien trop fort pour moi... Mes vêtements sont retirés tant bien que mal. Au quatre coins de la table, mes bras et mes jambes se font attachés par des anneaux en fer.

-Tu peux crier au tant que tu veux, personne ne viendra t'aider. Me lâcha t'il froidement.

Je suis nue, entravée de toute part et  grande ouverte. Je le supplie de me détacher. Il m'ignore. Il se tourne et ouvre une armoire situé derrière moi. Je l'entends fouiller, saisor différents objets. Je tente toujours de me débattre de faire glisser mes mains en dehors des anneaux malheureusement ceux ci sont trop serrés.

-Les rôles sont inversés on dirait! le jour où tu m'as humilié, attaché à une chaise, depuis je prépare des idées de tortures spécialement pour toi. Te voir ainsi m'excite déjà. Je veux que tu me supplie de te prendre, de te punir, de te défoncer par tous les trous. Tu me dois le respect et pour commencer, tu ne m'appelera plus Stanislas mais maître.