MagicTravel

En Route.

Je me lève et me dirige vers la file d’attente. Je suis stresser, je vous l’ai dis je stresse toujours, tout le temps et pour rien. Alors qu’est ce qui me prend de partir dans un autre pays toute seule, hein ? Je vous le demande. Je tâte ma poche de manteau en écarquillant les yeux. J’ai toujours peur de perdre mes papiers en général, et là je cherche à savoir si j’ai toujours ma carte d’identité et ma carte d’embarquement afin de les présenter aux hôtesses de l’air. Je les sors et les lui présente. Elle me regarde, avec un grand sourire, scan ma carte d’embarquement et me souhaite bon voyage. Je lui sourie en retour et la remercie. C’est dingue, j’ai toujours était  subjugé par les hôtesses de l’air. Toujours souriantes, toujours très serviables, toujours  très élégantes. C’est le métier qui le veut. Mais je les plein. Tout le monde dit toujours qu’être hôtesse de l’air c’est super comme travail, parce qu’elles voyagent entre guillemets gratuitement. Mais ce que les gens ne comprennent pas c’est qu’être hôtesse de l’air n’est rien de plus que de servir les gens, dans un avion. Être aux ordres de tout le monde. Voyager tu parles, elle ne font que rester dans une chambre d’hôtel bien souvent pour une seule nuit. Elles ne peuvent même pas se permettre d’avoir une vie de famille. Ce boulot n’est pas forcément le meilleure du monde.

Je sors de l’aéroport et me dirige vers la navette qui nous emmène vers l’avion. Dans celle-ci je me remémore les différents voyage que j’ai pu faire étant plus jeune ou il était nécessaire de prendre l’avion . La dernière fois que j’ai pris l’avion remonte à moins d’un an. C’était pour un voyage scolaire. On partait pour Stockholm en Suède. Et oui, le pays voisin de la Norvège. Et je pense que c’est bien pour ça que j’aime autant les pays scandinaves. Je garde un très bon souvenir de mon voyage là-bas.

En arrivant devant notre avion, je le regarde avec insistance. Il me parait très petit comparer aux précédent avion avec lesquels j’ai voyages précédemment . Je ne voyageais pas avec des longs courriers avec trois rangées de sièges. C’était toujours des avions avec une allé et deux rangées de trois sièges. Mais là, il m parait bien petit. On dirait un petit jet privé à peine plus grand. Quand je monte dans l’appareil je me rend bel et bien compte que j’avais raison. L’intérieur de cet avion est minuscule. Il y a une allé au milieu mais ce ne sont que deux rangées de sièges. Une rangé d’un fauteuils et une autre rangé avec seulement deux fauteuils. C’est très bizarre. Je ne me rappelle pas avoir voyager dans des avions si petits.

Je cherche ma place et m’y assoies. Je cherche les deux partie de la ceinture de sécurité et la fixe. Je regarde autour de moi pour observer un peu les gens. Il y a une petite famille avec un enfants. L’enfant rigole, son père est en train de lui faire des grimace. Surement pour qu’il ne s’inquiète pas de l’environnement dans lequel il se situe qui lui ai, je pense, pas très famillier.

Un homme enlève sa veste de costume. Il doit surement être là pour le travail. En même temps c’est un petit trajets. En vérité je prend deux avions différents. Le premier va jusqu’à Amsterdam. Il n’y à qu’une heure de vol.

Une dame est assise à côté de moi, elle est pas très bien, je pense qu’elle n’a pas lhabitude de prendre des avions. Elle a peur, ça se voit dans son regard. Elle a ses mains sur les accoudoirs. Je la regarde avec un grand sourire pour essayer de la rassurer. Je n’ai jamais eu peur de prendre l’avion. C’est un moyens de transport comme un autre, ça ne me dérange pas.

L’avion prend de la vitesse et se met à décoller. Les maisons se mettent rapidement à rétrécirent. Au loin je vois des petits nuages, ils sont par millier ans le ciel. On irait du coton. Et ils font des ombres au sol, sur les maisons. Nous sommes déjà presque dans un nuage.  Je mets mon casque sur les oreilles et ferme les yeux.