Perdu

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Ces quand nous sentons cette brûlure, ce déchirement, les craquement d'os. Que l'on découvre la première marque bleu, jaune, violette que nous nous rendons compte qu'un simple fil tiens les reines.

Cette fin de journée n'étais pas joyeuse, il avait recommencer encore.

J'étais assise, les larmes ruisselais sur mes joues. Ma respiration était hacher, j'essayais de refaire surface. Mes vêtements était mouillé malgré tout je ne bougeais pas, j'étais paralyser. La douleur était encore présente mais je n'y pensais plus. Je frissonnais, j'avais froid.

Je pensais à se qu'elle aurait pu voir et a ce qu'elle ne devrais jamais subir. Et à comment j'allais pouvoir les protéger.

Un monstre, voilà ce qu'il était. Je l'avais laisser entré, lui avais ouvert les portes de mon coeur. Il était venu en conquérant, il avait été mon héros. Il m'avait aider dans un moment difficile pour mieux me briser ensuite.

J'étais devenu sa poupée, il tirait les ficelle à ma place. Il avait réussi à tisser sa toile autour de moi. Et j'avais été assez bête pour ne rien voir.

Enfermer, prisonnière de ces démons. Je n'avais plus de droit, je n'étais plus rien. Enfuis dans cette coquille, je regardais le monde. Je n'étais plus qu'une façade, je jouais un rôle.

Le goût de vivre avait disparu. Je m'étais battu de toute mes forces. Je n'avais rien lâcher jusqu'à ce jour.

J'avais pu voir sous mes paupières des petites étoiles s'intiller. Je sentais encore ces doigts se resserré, ma main poser sur la sienne. J'avais cesser de me débattre et ne souhaitais qu'une seul chose que tout s'arrête.

Cette sensation était étrange, je suffocais et pourtant je ne bougeais pas. Je me rappelle encore de la sensation de son doigt quand il la appuyer. A cette instant, tout c'était passé très vite. J'avais perdu connaissance sans même m'en rendre compte.

C'était le froid, l'eau qui ruisselait sur mon visage qui m'avait réveiller de ce cauchemar. J'aurais préférer y rester et ne plus revoir ce regard. Mais j'avais deux petits vies entre mes mains et je ne pouvais pas les laisser partir entre les siennes. Alors je me suis battu intérieurement pour trouver la force de le contré et de me battre pour elle.

Love envyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant