Une vu magnifique, éblouissante qui se déversait à travers moi. Elle me coupait le souffle et mon corps frisonnais à chaque frottement.
Mes mots reflétaient mes pensées. Ils inondaient la toile blanche tel une peinture abstraite.
Elle coulait dans mes veines. Je m'en impreignais et rêvais de ces moments.
Elle succitait une force incroyable, elle écartait ma chaire.
A vif, elle était imposante et impressionnante. L'air si infiltrait sans effort. Le froid,lui s'insinuait comme une sombre mélodie.
Un cauchemar des plus effrayant. Un Trou béant qui laissait tout apparent. Une ouverture bien trop longue à cicatrisé.
Laisser dans cette souffrance après avoir ouvert son coeur. Un toucher soyeux qui c'était transformer en vulgaire mouchoirs.
Abandonné sur ces gravier, en bas d'une montagne. Une traversé impossible sans gravité.
Le vent devenait paisible. Le calme et le silence prenaient place. Il ne restait plus que les secondes qui s'écoulait.
Longue, elle attendait. Lentement, elle faiblisait. Et puis tout s'arrêta.
La faille était la, présente. Le temps, lui continuait de tournée et pourtant toi tu n'étais plus ici.
Il ne me restait plus que ce motif, signe de ton passage. Une faille temporel, qui sa grandissait chaque jour un peu plus.
