Costa Rica 2017 🇨🇷

Jour 6: La plage

28 février 2017, 9 :15 AM, Playa Grande Tamarindo
Journée libre pour profiter de la plage

Étant donné qu'il n'y avait pas d'activité prévu comme tel, nous avions pu dormir plus longtemps : au lieu de se réveiller à 6h30, déjeuner à 7h et partir à 8h, nous pouvions nous lever à l'heure que nous voulions, tant que nous étions tous sur la plage pour le compte à 10h tapante. Après quoi, nous fîmes laisser à nous-même pour la journée.

Nous commençâmes notre journée avec une mini-séance photo, Camille, Alexe et moi. Avec la grosse caméra de Camille, les photos sont vraiment belles. Il faut dire que la vue était magnifique aussi. Nous étions sur le bord de l'océan Pacifique, sur une plage adorer par les surfer. Certains se faisaient bronzer, d'autres jouaient au soccer avec les ballons que les profs sont allé acheter pour nous, d'autres se baignaient, mais la grande majorité prenait des photos « goals » comme ils disent. Pour ma part, autre que prendre des photos, je ramassait des coquillages (c'est seulement une fois à Montréal qu'on m'a dit que je n'avais pas le droit d'en rapporter théoriquement... Oups! Too late!)

En après-midi, presque la moitié du groupe a eu le droit à un cours de surf. En fait, ils ont payé avant de partir pour y avoir droit, mais tout de même. Ça n'avait pas l'air d'être la chose la plus facile du monde même pour ceux qui disait être super bon. Je ne faisais pas partie de ce groupe parce que je ne me fais pas assez confiance dans l'eau si je tombais à la renverse. Je ne regrette point mon choix, je l'aurais peut-être regretté si je l'avais fait justement. J'ai tout de même passé l'après-midi dans l'eau, dans les vagues, à retenir mon maillot de bain pour ne pas le perdre oups.

Le groupe qui participait fut divisé en deux vagues et, dans la deuxième, nous pûmes observer nos deux professeurs de français à l'œuvre. Non mais, qui peut se vanter d'avoir vu ses profs de français faire du surf? Sans compter qu'ils étaient quand même vraiment bons! En fait, la plupart des élèves c'étaient bien débrouiller dans l'ensemble.
C'est seulement rendu dans nos chambres en fin de journée que nous pûmes observer nos magnifiques coups de soleil! Ce dernier était tellement fort que personne n'y a échappé, même pas Camille, ma grande amie blonde qui a dû se crémer 7 fois dans la journée parce qu'elle savait qu'elle était sujette à attraper des méga coups de soleil dû à la couleur de ses cheveux. Même moi, la fille qui prend le moins de coup de soleil au monde (et non, ce n'est pas parce que je passe mes étés à l'intérieur, au contraire je suis presque tout le temps dehors en été à lire et écrire) j'en ai eu quelques-uns sur le visage, les épaules, le torse et derrière les genoux (c'est étrange, mais c'est clairement le pire endroit au monde! Ça fait mal!!)

Bref, l'aloès et la crème après-soleil fut notre meilleur ami, aux 46 petites crevettes grillées – un des nombreux surnoms qu'Olivier nous a donné lors du séjour avec les petites mouches – ainsi qu'aux 4 professeurs qui n'y on point échappé non plus malgré leur nombreux avertissement à notre égard.

À 22h, seules les plaintes de douleurs et le bruit des vagues firent écho à travers du Best Western...