Lettres 09

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Un faux semblant


Tu as déjà eu des rêves ? Tu as déjà eu...J'en sais rien pleins de choses que tu as toujours voulue. Moi oui je me suis fait une liste des choses à faire et l'une d'elle et d'être libre, d'être heureuse . Espérer qu'un jour tu me revienne. Mais je suppose que c'est un trop grand rêve mais je l'espère quand même...Cette homme qui a pris ta place, n'est pas un père c'est un faux semblant qui prétend en être un . Mais qu'est-ce qu'un père ? Sûrement pas toi papa ni lui.

Septembre 201*

Comme il me l'avait dit j'étais inscrite pour la rentrée je ne l'avais pas dit a Neila et aux autres je voulais lui faire la surprise.

J'étais devant le tableau à chercher mon nom mais je ne le trouver pas.

.... : Eh petite tu peut te décaler .

J'ai tourner ma tête et c'était Lucas .

Moi : C'est quand tu arrêtera de m'appeler comme ça Lucas

Il a lever sa tête et il m'a regardé

Lucas : Wided ? OH LES GARS Y À WIDED

Le mec pire qu'un haut parleur.

Depuis ce jour j'y allais tout le temps, je me sentais libre. C'est triste à dire parce que c'était le seul moment ou je ressentais cette liberté.

Cette liberté elle a duré 8 mois, 8 mois qu'il ne m'avait pas frappés, pas touchés, que j'étais inexistante pour lui. Et j'aimais ça, j'aimais le fait qui ne préoccupe plus de moi.

Je m'étais acheter un téléphone qui me donnait la possibilité de communiquer avec l'extérieur, je sortais plus souvent. Wassim n'était pas revenus vivre à la maison j'allais le voir à chaque fin de soirée puis je rentrais chez moi . Il se sentait bien là-bas, il avait comme " une famille " autour de lui, ce que je n'ai pas vraiment eu et je veux qu'il l'ai je veut qu'il se sente entourés, aimés.

Un soir j'étais au téléphone avec Lina.

Moi : Je dois et laisser je vais aller me coucher

Lina : Quoi ? Déjà il est que ..... 1 heure 30 du matin

Moi : Et c'est tard Lina. Bon on se demain tu viens me chercher comme d'habitude

Lina : Ouais grosse

Puis j'ai coupés. Je suis partie me brosser les dents, enfilés mon pyjama et je suis partie me coucher. Je me suis à peine coucher que quelques minutes après j'ai entendus un bruit dans le salon. Je me suis levés pour aller voir.

Moi : Y A QUELQU'UN

J'ai allumés la lumière et il n'y avais personne je suis aller dans le salon mon beau-père était à moitié ivre dans le salon. Quand il est comme ça il faut partir.

Lui : Tu es là ?

Il a essayé de ce levés, la première chose que j'ai fait et de retourner dans ma chambre et de m'enfermer. J'ai poussés le bureau dans ma chambre devant ma porte au cas ou. Même si je me sentais à peu prés " en sécurité " dans ma chambre j'avais peur.

Cette peur que j'avais oubliés. Il tapés sur la porte et il crié. Je me suis assise au pieds de mon lit et j'ai attendue tout la nuit.

Mon réveil a sonné je l'est éteint. Quelques minutes après quelqu'un a sonnés, je suppose qu'il a ouvert vue que j'ai entendue la porte claqués deux fois. J'ai attendue deux heures avant de sortir.

J'ai pousser le bureau devant ma porte et j'ai hésité à ouvrir. J'ai finis part ouvrir c'était calme. J'ai fait le tour de l'appartement pour voir si il était encore là.

« Lettres à mon père »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant