CHAPITRE 6

68 5 0
                                    


Je me réveille dans le lit d'une chambre assez sombre autant par sa couleur que sa luminosité. Qu'est ce que Sam avait dit déjà ? Que la chambre de quelqu'un était la fenêtre de son âme. Si c'était vrai, alors le propriétaire de celle-ci ne devait être de bonne compagnie. Je ne compris pas tout de suite ce que je faisait ici puis mes souvenirs refirent surface : Sam qui voulait m'aider à retrouver mon père... les mots... Z... ses doigts en feu...le monstre... et notre chute pas vraiment une chute. Et maintenant je me retrouvé dans la chambre d'un inconnue, pourtant, je ne paniqué pas, c'était comme si que l'odeur qui se dégageait de cette pièce me calmer, et puis se n'était pas comme si que ça avait été la chose la plus dangereuse qui m'était arrivé aujourd'hui. Tout d'un coup j'entendis deux voix, l'une, il me semble, était celle de Sam et l'autre... de James ?  Et soudain je me souvient que peu avant notre agression Sam avait appelé James pour qu'il vienne à notre secours. Mais ou est-ce que je suis ? Je m'assis sur le rebord du lit afin de mieux reprendre mes esprits et mes yeux tombèrent sur une photo de moi, dans un cadre en bois posée sur le bureau placé contre le mur, face à moi. Je m'avancé alors pour vérifier si je ne m'étais pas trompé, mais non, c'était bien moi. Sur ce cliché je devait avoir 16 ans, je me souvenais parfaitement de se jours, celui des photos de classe. J'en ai toujours pris mais ma mère refusais toujours d'en acheté. Comment se faisait-il qu'elle se trouvait ici ?  Cette découverte me réveilla pour de bon. Ou étais-je, bon sang.  

Et alors que j'était debout face à mon portrait, la porte s'ouvrit sur Sam, qui lui, avait un air tout à fait décontracté. Il m'adressa un immense sourire avant de me faire signe de le suivre.

_Agathe t'est en fin réveiller ! Me lança Sam. Sa va ? me demanda t-il comme si tout était normal.

_Euh... si tu pouvait m'expliquer ou nous sommes, se serai mieux.

_Même pas un bonjour, princesse ? mais comme il vit que je ne plaisantai pas, il poursuivit. En faîte, tu te souvient de la fois ou je t'ai dis que James et moi on était pour ainsi dire dans la même galère ? commença t-il.

_Oui. répondis-je sans comprendre.

_Bien, alors...,il parut hésité mais continua.  En gros, toi aussi tu est dans la même situation que nous ! Le pire c'est qu'il prit  le même ton qu'il aurait pris pour me dire « quelle beau temps aujourd'hui ».

_Pardon ? Je ne comprend pas.

Il poussa le soupir le plus profond jamais entendu. Comme si qu'il en avait marre de cette situation. Puis il me pris brusquement par la main, nous dirigeant hors de la pièce. 

_Vient, Prince t'expliquera tout correctement. Lui.

                                ********************************************************

Nous traversâmes un long couloirs que je jugeait au bout d'un moment, d'infinissable. Tout au long du trajet, je me demandais qui était ce prince et aussi d'en quoi je m'était embarqué. La pièce dans la quelle nous allions était un grand salon, vu de l'extérieure, tout aussi sombre que la précédente, mais conservé toujours une certaine luminosité, grave à la cheminé dont les flammes projetés des ombres sur tous les murs de la pièce. Dans cette espace, il n'y avait qu'une simple petite table basse entouré de trois long fauteuils en cuir noire. Au moment ou j'y aller faire mon entré, je me suis rendu compte que Sam m'avait lâché et qu'au lieu de me suivre il refaisait demi-tours. Alors au lieu de continuer mon chemin je le rattrapais, cette fois-ci à mon tours, par le bras.

_Ou vas-tu ? lui demandais-je.

_Je te laisse parler tranquillement avec prince. répondit-il. Vas-y, il risque pas de te manger. plaisanta-t-il.

_Attend, qui est ce Prince...

Mais sans me laissé finir, il se retourna et partit. Sauf qu'il était hors de question que j'aille voir ce prince sans lui. Mais au moment où j'allais le rattrapé,  un main attrapa la mienne. Je me retourné brusquement sans comprendre. Et découvrit avec stupeur James, qui me souriait. Sous le choc de se contacte, je retirai précipitamment ma main. Je ne l'avais pas entendu arrivé.

_Il a raison, je ne mange pas. me dit-il.

Maintenant au moins je savait qui était ce prince : James. Pourquoi lui ? Même si maintenant tous ces comportements louche s'expliquaient. Voyant que je ne répondais pas, il me fit signe de le suivre dans le grand salon. Je ne savait pas quoi faire, j'était bel et bien toute seule cette fois. Devais-je le suivre et ou resté planter ici comme une statue, ce n'était pas vraiment un comportement logique, j'aurai très bien pu m'enfuir car, je ne sais pas pourquoi, mais j'étais certaine que James ne m'empêcherait pas de partir. Mais, comme attiré par une force d'attraction invisible, je le rejoint dans l'immense pièce.

Je le trouvais assis sur l'un des fauteuil, le regard concentré sur les flammes qui dansait à l'intérieure de la cheminé. Ne savant quoi faire d'autre, je m'assied en face de lui, admirant les sublimes flammes à mon tours. Pendant un moment, personne ne parla. Lui, peut-être parce qu'il chercher ses mots et moi parce que je ne savait pas quoi dire puisque je ne comprenais rien à cette situation. Alors, je l'observé, et il avait l'air de s'en rendre compte car un sourire semblait naître sur le coin de ses lèvres. Et de l'amusement commençait à se faire remarqué dans son regard. Il avait la tête appuyer sur son coude. L'atmosphère commençais à se faire trop pesante à un moment donné, et impatiente comme je suis je ne pus m'empêchais de prendre la parole.

_Alors...quand est-ce-que tu vas m'expliquer ce que je fais ici ? demandais-je

Pour la fois la première fois, depuis que je suis dans cette pièce, il me regarda mais toujours sans répondre. Mais je resté, malgré moi, troublé par les traits de son visage, si fins, il donne l'impression d'avoir été travaillé par le plus califié des sculpteurs. Une beauté à faire peur, je me surpris moi-même d'avoir eu l'idée de pensé cela. Alors ne pouvant supporté son regard qui parait, en plus de cette beauté surréel, pouvoir lire dans mon âme, je détourné le regard. Et c'est à ce moment qu'il commença.

_En faîte, si je prends autant de temps pour tout t'expliquer c'est parce que j'appréhende ton comportement à la suites de mes révélations.

Cela devait vraiment être important pour qu'il soit aussi inquiet. Il avait même l'air d'hésité à poursuivre cette conversation.

_Tu sais, je crois comprendre que tout le monde était inquiet à cause de se que tu doit me dire. Mais, tu sais, toute ma vie j'ai attendu des réponses en vain, alors cette fois assez jouer, il faut vous crachiez le morceau maintenant.

Il parut m'éditer un fois de plus mes paroles, puis me tendis un petit de papier, une lettre en faîte.

_ Alors déjà, il faudrait que tu sache qui est ton père, tient. Me dit-il d'un ton assuré.

La lettre était doré et était enroulé comme un parchemin. L'écriture était si belle et si appliquer, que l'auteur a du prendre des heures juste pour pouvoir l'écrire.

Chère Agathe,

Mon enfant, je suis navré de ne pas pouvoir te parler de face à face, mais pour des raisons vraiment obligeante, je me dois de rester dans mon palais. Pour tout de dire, Agathe, tu est une personne exceptionnelle, c'était prédestiné même avant ta naissance. Et crois le ou non, rien n'a été plus difficile que de te laissé. Aujourd'hui, tu dois comprendre que la vie n'est pas comme on le crois et que la réalité nous cache parfois jalousement des secrets que même le dieux n'en non la connaissances. Agathe, peu après ta naissance, pour m'assurer que tu seras entre de bonnes mains, je t'ai lié à James, le fils de mon Satan de frère. Lui aussi est très spéciale et ils s'est avéré que sans notre initiative vos vie étaient, contre tout, entrelacé. Il t'expliquera l'autre partis de « l'histoire ». Je lui en fais confiance.

Fais attention à toi, ton père, Zeus.

P.S : Ta mère va bien, elle pense juste que ta classe se trouve en sortit pédagogique. Et j'ai mis des gardes autours d'elle.

Bon... Je m'attendais à tout, sauf à ça...

KNOWOù les histoires vivent. Découvrez maintenant