Je tombe. Pendant de longue minute je chute dans le noire. Je sent mon corps échouer de plus en plus profondément dans mon esprit, comme si absolument riens ne séparait le réel du rêve, comme si l'endroit ou j'étais n'avait pas de fond. Mes bras s'agitait essayant t'en biens que mal de trouver une quelconque forme solide au qu'elle elle pourrait s'accrocher pour stopper cette décente au enfer. Mes yeux n'avait pas plus de repère, tombant simplement dans un vide sombre. mes cordes vocal usée et meurtrie par les immense cri que je poussais, l'adrénaline chatouillait mon ventre alors que l'air brulait ma peau.-ANTOINE À L'AIDE!!!!!!
C'est inutile d'appeler à l'aide, je le sais, je sent que je suis seul dans cette dimension. Un sentiment de peur, d'abandon et de paumerie s'empare de ma gorge. Ma respiration d'abord haletante ce fait de plus en plus rare alors que je m'efforce de ne pas fermer les yeux, je sais que si je le fait,je toucherais le fond pour de bons. Une simple chute, longue et effrayante de plus en plus rapide. Puis une petite sensation écrase le bout de mes orteils, puis mes pieds tout entier, puis mes jambe, qui, sous l'effet de la pression et de mon corps ayant accumulé toute la vitesse de la chute, casse dans un énorme bruit sourd. Pourtant, je ne sent riens, a part un énorme soulagement, mais aussitôt avoir pris conscience que ce rêve était terminé, je sentit mon corps tomber, près pour le deuxième tours.
Je n'en peut plus de cette chute, je doit me réveiller, je dois le faire, 1 mois, 1 mois que je fait toujours ce même rêve qui me tors les tripes jusqu'à me donner la nausée, qui me sanctionne le corps jusqu'à ce qu'il casse en deux, qui torture mon esprit jusqu'à le faire saigner. Dans ce cauchemar qui dure depuis plus de 30 jours, je suis seul au monde. Crick Crack, mon corps rencontre le sols pour la deuxième fois cette nuit. Je me recroqueville sur moi même câlinant mon corps et caressant mes propre cheveux. Le désavantage de ces terreur nocturne, c'est que riens n'est floue, chaque détailles reste imprimé en toi comme une tache d'encre. Tout est tellement réel qu'a ton réveille, tu te demande qu'elle monde est le véritable endroit ou vivre ton existence.
J'ouvre lentement les yeux, biens sure, je ne suis pas réveiller, pourtant je suis chez moi, dans mon appartement à Nante, étendue de tout mon long sur le parquet froids de la salle de bain. Une odeurs de pourriture et de poisse est présente dans toute la maisons, empoisonnant mes narine a chaque respiration. Je reconnais cette odeurs, c'est celle qui empeste les draps et le couvre lit lorsque mon nez ce mets subitement à saigner, une odeurs de sang imbibé dans un tissus autrefois si pure. Une poisse qui viens salir ce voile blanc. Ce liquide rouge me dégoute, cette hémoglobine viens chaque fois empoisonné chaque parcelle de ma peau avec son odeurs repoussante et son contenue tachant. Pourtant cette odeurs biens frappante est une fois de plus en trains d'envelopper mon appartement et me pourrir l'odorat. De façon stratégique, je positionne mon sweet-shirt sur mon nez, cherchant t'elle un détective l'origine de cette poisse odorante.
Pièce par pièce, j'observe, soulevant les coussins, regardant sous le divan, derrière le meuble du salon. Sur le pelage de wifi, Cette pièce est ok.
Chaque pièce y passe, sauf la chambre, ma chambre. La porte hermétiquement fermé me donne simplement envie de partir, je l'a laisse toujours ouverte. Tranquillement, j'avance vers cette endroit alors que chaque pas inflige pour moi une nouvelle dose de stresse. Des Grognement ce font entendre sous celle ci. La curiosité étant supérieur, j'ouvre cette porte.
Mes yeux s'ouvre subitement devant la créatures qui se tiens devant moi. Long corps noire charbon, touchant le sols, me jetant un coup d'œil désintéresser par ces yeux rouge, coulant de l'hémoglobine que je me tuais a trouver précédemment. Cette forme clairement inhumaine s'écarta légèrement, me laissant très brièvement apercevoir un corps sur le lits. Un corps que je ne connait que trop biens. Le Miens, du sang coulant de tout mes orifice en passant par mon nez jusqu'à la bouche et enfin, mes oreilles.
Devant cette visions horrifique, mes yeux se ferme deux même, refusant de voire une seconde de plus cette horrible spectacle. Dès que mes paupières ont bloquer la vue à mes pupille, un silence troublant s'installa. Seuls des sanglots ce faisait entendre, des sanglots de plus en plus violent, des cri, des supplication et des prière. Je sentait mon corps être serrer de façon rassurante, je sentait un souffle chaud dans mon coup, une voix cassé par une respiration anarchique, me supplier d'ouvrir les yeux. C'étais un piège, je ne dois pas ouvrir. je ne bouge pas, par le stresse je ne respire pas, de peur qu'il entende.
- Mathieu reste avec moi...
Antoine...
J'ouvre doucement les yeux, je suis seul, dans une pièce au mure blanc, j'apprécie cette pureté. L'odeur semble neutre, je ne s'aurais la décrire. je suis confortable, tout le stresse a disparue. Mes yeux papillonne, un doux souffle s'effondre sur mon visage.
Puis...
Les mur blanc qui clôturait cette pièce commençai a diminuer, comme attiré par mon être posé au milieu de cette pièce, de plus en plus petite. Les murs se rapprochait, me laissant bientôt qu'une minuscule espace. Ma respiration saccadé témoignait de mon puissant manque d'air. je me sentait suffoqué, cognant sur les murs autant que l'espace limité me le permettais.
Je frappais jusqu'à ne plus avoir de souffle et m'effondrer à nouveau sur le sols.
Doucement tout deviens noire, un voile sombre recouvre mes yeux humide et vide, c'est la fin, la fin du rêve. Enfin, c'est ce que je crois, tout à coup, je me remet à tomber..[PDV ANTOINE]
Un mois, un mois que tu est partie comme un lâche. À qui la faute? Je n'avais même pas remarquer ta dépression, même pas remarquer à qu'elle point tu étais triste. Je me rappelle toujours de ce moment, comme si chaque soir je le revivais. La course folle vers ton appartement suite à avoir reçus ton e-mail, me disant que tu allais faire une bêtise, à ce moment, tu avais déjà perdue beaucoup de sang, tu tombait dans l'inconscient [la chute] suite à ça, j'ai trouver ton corps, j'ai appeler l'ambulance, ne t'ai supplier de rester, de ne pas partir, mais il était trop tard..le seul monstre qui te faisait réellement peur c'était toi même [le Monstre].
-Mathieu reste avec moi..
Tu n'était déjà plus là à ce moment là selon les médecins, mais moi je sais que tu écoutais, puisque tu t'es battu pour survivre. On ta amener dans la salle d'urgence, essayer de te trouver du sang pour remplacer, c'était trop tard. [La salle blanche]
Alors les docteurs ton transporter loin de l'hôpital, quelque jours plus tard, tu avais déjà un cercueil riens qu'à toi, je sais que tu étais claustrophobe, je me sentais tellement mal de te voire enfermer dans un espace si restreint. [Les mur qui rétrécisse]
Puis, vain le jours de l'enterrement, je me rappelle avoir eux la permission de faire une chose que je n'aurais jamais osé faire de ton vivant, t'embrasser. T'es lèvres était froide, ta peau pâle et tes yeux fermer si paisible, on aurait jurer que tu dormais, et que le lendemain, tu te réveilleras comme si riens était, mais non, c'était belle et biens terminer, et je devais m'en résigner. Après toute ces Année à plaisanter, à rire, à s'amuser, tout sa est loin derrière moi maintenant, car on m'a enlever mon nain de jardin, mon Hobbit, mon amours. Et j'espère que la mort ne s'attend pas à ce que je la pardonne pour ça.
Doucement, il on descendu ton cercueil dans la terre, 6 pieds exactement. Il ont remis toute la terre sur toi. [La suffocation]
Je me suis assis, tout près de la pierre tombale au inscription de "Mathieu Sommet" je t'ai sourie doucement, te promettant de revenir de raconter des blagues, te parler, te rassurer. Un mois que je viens chaque jours te voire Mathieu. Tu me manque.Mathieu, A toi qui pensais que ta mort serais un repos :)
-HoOdeD MaN(Jessamine-Angela 😂)