Tout pour ma danse

Chapitre 15 )Première tentative...

PDV Aurélie

Je n’étais pas rassurée et cela se sentait, dans l’ascenseur Stéphane posa ses mains sur mes épaules  et débuta un doux massage, je me détendis lorsqu’il monta dans mon cou je poussai un cri. Je me tournai  vers lui la main sur la bouche, Soraya était pliée en deux et Stéphane ne comprenait rien à ce qui se passait :

-Elle a oublié de te le dire, Aurélie est très sensible à cette endroit…

Stéphane leva un sourcil :

-Qu’est ce que ça te fait ? Ça te fait mal ?

-Non pire… Si tu vois ce que je veux dire…

On se mit à rigolé à l’unisson en sortant de l’ascenseur :

-A ce point, dit Stéphane.

J’hochai la tête et nous rentrâmes à la réception, j’arrivai en première puisqu’ils trainaient des pieds. Je cherchai  mon frère, quelqu’un pour me soutenir parce que la je commençais vraiment à avoir mal aux pieds ça commence bien… Je ne vais pas vous mentir qu’à part Joachim je cherchais les yeux de Marvyn et se fut la première personne avec qui j’échangeai un regard, comme prise en faute je détournai le regard de lui et trouva Joachim le sourire aux lèvres :

-Woaw, tu es magnifique Aurélie !

-Merci…, dis-je

Il prit ma main dans la sienne et nous rejoignîmes, les autres :

-Tu magnifique Aurélie, pas vrai Marvyn ?, dit ma mère.

Ce dernier sursauta alors qu’il me dévorait (va-t-on dire) des yeux. Il répondit par l’affirmative en me regardant dans les yeux

 C’est bien ça, mais à quoi jouait ma mère ? On est d’accord, que précédemment elle nous a fait venir dans sa chambre pour nous reprocher nos relations ambigüe voir même on aurait dit qu’elle était contre nos relations et là elle me fait voir qu’elle fait Marvyn me complimenter ? Je ne comprends plus rien et je ne vais plus chercher à comprendre …

Stéphane et Soraya arrivèrent enfin :

-Il se passe quoi ?, demandai-je.

-Rien de spéciale, dit-elle en faisant une légère grimace.

- Tout le monde est là on peut y aller, demanda Stéphane pour changer de conversation.

Marvyn regarda sa montre, il était habillé d’une chemise blanche légèrement entrouverte et d’un  pantalon noir, il était simplement vêtu mais il vendait du rêve…

-Oui, on peut y aller…

Nous étions cinq dans une voiture, Soraya, Stéphane et Kévin derrière et Marvyn et Moi devant. Ça partait dans un fou rire niais avec Stéphane et Soraya, Kévin qu’en a lui ne devait rien comprendre et il n’était pas le seul. Je lançai un regard à mes amis ce qui provoquait encore u une avalanche de rire, ils se calmèrent finalement sous le regard interrogateur de Marvyn :

-Plus sérieusement, Marvyn. Raconte-nous ta vie ! Tu as une petite amie ? Tu vois quelqu’un tu as des vu sur quelqu’un ?, demanda Soraya.

Je voulu  arracher sa tête à cet instant, je me retiens en roulant des yeux :

-Je n’ai personne, répondit Marvyn en la regardant dans le rétroviseur.

-Tu recherches quelqu’un ?

Soraya toi tu recherches ma main à plat sur ton visage.

-Pourquoi tu lui poses autant de questions, intervins-je, laisse-le conduire en paix.