Chapitre 19

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Point de vue Skylar

Je viens de me réveiller, je suis dans les bras de Cameron. Je me lève et m'habille comme ça

Je vois que Cameron dort et je décide de ne pas le réveiller

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Je vois que Cameron dort et je décide de ne pas le réveiller. Je file en cours après avoir préparé Carter pour que Mme Jones l'emmène à l'école.

J'arrive au lycée, et tout le monde me regarde bizarrement, quand je rentre à l'intérieur et que j'arrive à mon casier je vois une affiche collée dessus. Je la prends et je vois que c'est une photo de moi qui est en train de frapper Fernando. Qui a trafiqué cette photo? Je n'ai jamais frappé Fernando... enfin jamais devant le lycée.
Sur l'affiche c'est marquée La folle dingue pète un plomb.

Le directeur demande à me voir. Je suis dans le couloir, en attendant qu'il arrive, je regarde sur les réseaux sociaux. Je suis littéralement partout. C'est pas vrai, ma célébrité va me retrouver. Je sais pas si cette phrase a du sens. Le directeur arrive et me fait rentrer dans son bureau. Je commence:

" Je vous l'avais dit Luke que vous auriez l'impression qu'on partage le bureau même si je n'ai aucune idée de pourquoi je suis ici.
- Votre bagarre d'hier mademoiselle. Dit-il d'un ton sec.
- Quelle bagarre? Dis-je en commençant à m'énerver. Cameron et Jullian entrent dans le bureau à ce moment.
- Monsieur le proviseur, je peux parler à ma sœur deux petites minutes. Demande calmement Jullian
- Vous êtes qui? Mademoiselle Parker n'a pas mentionné dans son dossier qu'elle avait un frère. Rétorque le directeur."

Je sors sous les protestations du directeur, Cameron et Jullian sur mes talons. Quand j'arrive dans la cours du lycée, je vois tous les lycéens me regarder, les mecs avec désir et les meufs me fusillent du regard. Je comprends pas jusqu'à ce qu'un flash me surprenne. Cameron me met derrière lui et Jullian approche sa tête de mon oreille, il me murmure:

" Je suis désolé, ma belle je m'en veux. J'aurai pas du te laisser sans protection."

Il passe son bras autour de mes épaules et me sert contre lui. Il avance en écartant les journalistes. On monte dans sa voiture et Cameron prend la mienne. On roule plutôt doucement parce que les journalistes ont bloqués la route. Ça me stresse d'être confinés dans un espace où je ne peux pas me cacher. Je sais que les journalistes sont partout, mais j'aurai aimé que mes enfants aient une vie normale le plus longtemps possible.
Mais c'est impossible, je n'arrive pas à protéger mes enfants. J'arrive à la maison, la barrière du lotissement à été remplacé par un portail. Les journalistes sont coincés dehors. Je vais dans le jardin, mes félins ont bien grandit. Artick

 Artick

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Compliquée ... Toujours autant.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant