Don't cry, I'm here [Correction]

Chapitre 1

Lundi le 8 Mai:

Je m'accotai sur mon cassier. Une autre journée dans la prison qui me sert d'école. Super ! Il faut dire que j'ai juste ça à faire.

Youngmin : Il parait qu'il y'a une nouvelle aujourd'hui
Kwangmin: Ouais, et qu'elle serais aveugle
Youngmin: ça va être drôle

Je me mis à regarder les deux mecs. Ses deux jumeaux se ressemblaient beaucoup trop. Je dois avouer que j'ai de la difficulté à les différencier.

Hoseok: Boff

Kwangmin: pourquoi boff ?
Hoseok: C'est pas drôle, elle nous vois pas et elle ne voit pas nos niaiseries
Youngmin: Ouais,mais les niaiseries on va les faire sur elle et elle pourra pas les voir

Hoseok: ouais

Je la vis arriver, c'était facile à deviner que c'était elle vue qu'elle avait un long bâton noir dans les mains et je ne reconnaissais pas son visage.

Elle avait l'air normale. Des  cheveux brun court en coupe carré, des yeux brun et du linge noir. Elle regardait droit devant elle et marchait le dos droit. Une dame se tenait à côté d'elle. Ça devait sûrement être sa mère. Sa mère lui tenait le bras opposé à son bâton et l'apporta au bureau du directeur.

On la vis sortir pour aller à sa casse quelques minutes après. Elle passa devant nous et Kwangmin lui fit une jambette. L'aveugle ne tomba pas au sol, mais elle échappa tout ses affaires au sol.

Kwangmin: fait dont attention où tu vas quand même

Tout le monde dans le couloir se mirent tout à rire. Elle ramassa les chose qu'elle avait fait tomber, se leva et parti sans rien dire.

Il restait un crayon à terre. Je le pris donc. C'était un petit crayon de minou.

Je ris un peu.

Youngmin: ça va ?
Hoseok: ouais, ouais
Kwangmin: alors pourquoi tu ris tout seul ?
Hoseok: pour rien

Je rangeai le crayon dans mes poches avanr de leur dit à plus et de partir en classe.

Cours de maths, le plus facile et le plus ennuyant. J'écrivais dans mon cahier des paroles de chansons qui me passaient dans la tête pendant que le prof expliquais.

Prof: Hoseok, tu peux me dire que se vaut X dans la formule Si Y vaut 3
Hoseok: qu'elle formule ?

Les élèves se mirent à rire même si j'étais sérieux.

Prof: Elle de Y=3x-47

Je pris le temps de réfléchir un peu

Hoseok: ça donne 16.6 périodique

Il regarda sa feuille.

Prof: bonne réponse, merci
Hoseok: De rien Mr.

Je me remis à lire. Je connaissais déjà tout la matière. Ma mère m'avait fait prendre des cours avancer quand j'étais jeune.

Je remarquai que la nouvelle était dans notre classe. Elle avait le premier bureau devant le prof.

Sur son bureau, il y avait des feuilles, des crayons et son téléphone. Elle devait sûrement enregistré le cours vue qu'elle ne pouvais pas prendre des notes.

Le classe se vida après que la cloche se fit entendre. Le nouvelle resta à sa place debout derrière le bureau comme si elle attendait que quelque chose arrive.

Je mis son crayon sur le bureau doucement.

Hoseok: Tiens, petit chaton t'a fait tomber ça
Nouvelle: Je ne m'appelle pas comme ça
Hoseok: ah c'est triste...Ça t'allais bien comme surnom
Nouvelle: Je n'aime pas quand les gens que je connais pas me donne des surnoms....Mais merci quand même
Hoseok: on vas sûrement apprendre à se connaître petit chat

Je lui ébouriffai les cheveux. Elle les replaça en regardant toujours devant elle.

Hoseok: En tout cas, fait attention. Cette école est dangereuse pour les petits chaton mignon comme toi

Je sortis de la classe pour aller prendre mes choses du prochain cours avant qu'elle puisse me répondre quelque chose.

J'imagine qu'elle vas être dans chacun de mes cours. Ça va être le fun.

Je rejoins les jumeaux qui parlait encore du petit chat.

Kwangmin: ouais, Elle s'appelle Addéa
Youngmin: Qu'elle nom bizarre..
ils se mirent à rire ensemble.

•PV Addéa•

Je regardai toujours devant moi. Je senti une main sur mon épaule

Élève: Addéa tu viens ? Je t'apporte à ton prochain cours
Addéa: Merci

L'élève prit mon bras et aida à me diriger. Je n'aime pas ma situation. Le noir à se que j'ai toujours vue. J'haïs de ne pas voir les couleurs de la vie. Ma famille a aussi de la difficulté à comprendre que je suis aveugle et que ça vas jamais changer. Ils espèrent toujours le miracle qui arrive.

L'opération qui vas finalement marcher et me redonner la vue.

C'est comme demander à un homme qui a perdu deux jambes de courir le marathon. C'est rare, très rare que ça arrive.

L'élève me laissa devant mon cassier et il reviens me chercher après qu'il aille prit ses choses aussi pour aller me porter dans la classe.

Je voulais déjà partir. Je ne voyais pas les gens, mais je pouvais sentir leur regard sur moi. Ce regard qui nous brûle la peau et qui nous juge de haut en bas.

Celui qui nous fait pencher la tête et nous fait naître le sentiment de ne pas être à la bonne place. Je veux partir....