Don't cry, I'm here [Correction]

Chapitre 3

•Flashback•

Maman: JE NE VEUX PAS D'UN ENFANT COMME ÇA !!! DONNER LUI LA VUE !!!

Médecin: madame...je peux rien y faire. Elle est aveugle. C'est une maladie. Je peux rien n'y faire malheureusement.

Maman: Mon enfant ne peux pas être aveugle !

Médecins: malheureusement oui

Maman: ce n'est pas mon enfant. Ça donne être une erreur... redonner moi mon vrai bébé

Médecin: madame...c'est votre vrai enfant

Maman: NON!!! JE NE VEUX PAS DE CETTE CHOSE !!

Le médecin se leva brusquement en frappa son bureau fortement.

Médecin: Madame ! Ce n'est pas une chose. C'est votre enfant que vous avez mis au monde ! Alors prenez vos responsabilités de mère ou donner votre enfant !!

Maman: Je vais la donner ! Je ne veux pas de cette chose dans ma maison !!

Papa: chérie...je vais m'en occuper de la petite

La mère regarda son mari. Il osait répliquer à son ordre. Elle se demandait déjà qu'elle mauvais quart heur, elle allait lui passer.

Médecin: Bon choix messieurs, votre fille vas peut-être aveugle, mais nous allons tout essayer pour que ça change

Papa: merci docteur, nous apprécions beaucoup

*quelque année plus tard*

Addéa: Ouch! Papa !!!

Addéa se mis à pleurer après d'être rentrer dans la table base

Papa: J'arrive ma belle

Il l'a pris dans ses bras et la berça

Papa: ça va...tu vas y arriver
Addéa: mais j'y vois rien..
Papa: Tu es assez forte pour l'avoir quand même
Maman: Elle vas jamais réussir. Elle n'aurais même pas du vivre cette enfant

Addéa se mis à pleurer en silence. Elle a toujours su que sa mère l'avait jamais désirer et quand elle avait avait appris que sa fille était aveugle, la haine avait juste augmenter pour son enfant. Une chance que son papa était là. Sinon, Addéa aurait pas survécu. Sa mère était pire que certaine belle-mère.

Papa: on vas aller dehors...

Il apporta sa petite princesse dehors. Il n'aimait pas comment ça femme traitait leur fille, mais il ne pouvait rien y faire. Sa très chère femme avait toujours détesté les enfants. Elle avait dit Oui parce que son mari la suppliait d'en avoir un. Selon lui, ca aiderais le couple à être plus solide. Finalement ça a été le contraire.

Plus Addéa grandit, plus qu'elle proche de son père et plus que son père s'éloigne de sa femme.

Addéa était même rendu qu'elle n'appelais plus sa mère "Maman" quand les deux étaient ensemble aucune gêne à l'appeler la sorcière ou la folle. La mère, elle, n'hésitait pas à lui faire dès jambettes ou même la frapper dans le dos.

Tout les coups était permis entre les deux. La mère avait juste hâte de voir l'avorton sorti de la maison familiale et de voler de ses propres ailes. Elle était même prête à jeter l'avorton dehors si son mari partait pour plusieurs jours. Quand il allait revenir, elle aurait juste à dire qu'Addéa s'était enfui et qu'elle ne la pas retrouvée.

Ses deux filles avait leur plan pour se débarrasser de l'autre. Les plans d'Addéa était par contre plus pacifique. Elle voulait faire comprendre à son père que cette femme n'était pas fait pour lui et qu'il devrait peut-être changer. Elle sauverait son père dans sa nouvelle vie et serais débarrasser de la sorcière à tout jamais.

*Flashback*

•PV Addéa•

Maman: Addéa ! Viens faire la vaisselle !!!
Papa: laisse la...Elle doit faire ses devoirs et ses études
Maman: ouais c'est ça...
Addéa: ouais, vielle sorcière, j'ai des devoirs et des études à faire
Maman: Sale avorton !

Je montai dans ma chambre pour avoir la paix. À certain moment, j'aurais préférer être muette ou même soudre. Soudre aurait été bien. Je n'aurais pas entendu la sorcière crier chaque soir les même choses sur moi.
"Tu sert à rien"
"Bonne à rien"
"Tu vas rester seul tout ta vie "
"T'aurais dû mourir"
"Je te voulais même pas"

À chaque fois, c'est papa qui lui dit de se calmer et d'aller prendre l'air dehors. À ce moment là, Elle prend le temps de fumée c'est 3 cigarettes de suite avant de rentrer. Elle dit que c'est des cigarettes, mais j'y crois pas. Elle est trop détendu après. On dirais qu'elle viens de prendre du somnifère.

Papa: Chérie...vas te calmer un peu...
Maman: AVEC CETTE FILLE LÀ C'EST IMPOSSIBLE !!!

On entendit la porte claquer et mon père soupirer. Voilà , dans 15 minutes, elle vas revenir zen et perdu comme un mouton.