Chapitre 28: On part.

150 14 5
                                    

Titre: On part.

Chapitre 28:

#Dans la peau de Raïss#

Assis dans ma voiture je le vois sortir de son palace un des plus beau quartier de Paris accompagné de sa pute qui était censé être la meilleure amie de Rania pff la vie ne fais aucun cadeau encore moins au plus vulnérables je sort de ma voiture une arme à la mains je n'est pas de cagoule moi je porte mes ****** comparé à lui il es tard la nuit noir dehors je pointe mon arme sur lui sa keh cris comme une folle il me regarde la panique s'empare de ces yeux.

Raïss: Fais demi tour et monte.

Tout tremblant il se retourne et monte je ferme la porte derrière nous laissant cette connasse crié à la mort dehors on monte dans son appartement je le pousse dedant il es au sol toujours mon arme pointé sur lui.

Lui: Quesque vous voulais de l'argent j'en es prenais ce que vous voulez ?

Il était tout paniqué pff et elle apel sa un homme comment elle a put être attiré par cette merde.

Moi: Les larbin dans ton genre pense que tout s'achète mais sache que j'ai beaucoup plus d'argents que toi.

Lui: Mais quesque vous voulais alors ?

Moi: Te voir souffrir autant que tu a fais souffrir rania.

A l'annonce de son prénom son visage ces tendu il tremblé toujours autant moi je n'es pas cherché à comprendre je les frappé encore et encore jusqu'à n'en plus pouvoir remplis de sang il ne bougé plus j'aurai voulu le tué mais qu'aurait tel pensais de moi elle es persuadé que j'ai ôté la vie d'une femme comment pourrait-elle croire que ces faux si je tué cette enfoiré je sort de la j'entend déjà les sirène de police venir vers nous je suis beaucoup plus rapide je prend ma voiture et je reprend la route en direction de Marseille quesquel ma fais cette femme pourquoi je m'inquiète pour elle pourquoi je veut pas la laissé tombé elle a sans doute raison ces parce-que je détient ce qu'une femme à de plus beau à offrir à un homme elle me la offert à moi j'en suis fière comme si je l'attendait comme si j'avais besoin d'elle toute ma vie j'ai jamais crus en l'amour d'une femme pour moi je ne touchais qu'au fille salle qui n'on aucun intérêt mais elle putains aucune ne lui arrive a la cheville je regrette rien de ce qui ces passé entre elle et moi je regrette pas de l'avoir rencontrer je regrette pas de l'avoir vengé la seul chose que je regrette ces quel ne sais pas donné à moi par choix mais par obligation.

J'ai roulé toute la nuit il fallait que je parte loins pendants un moment que je me fasse oublié les flics ne vont pas tardé à venir frappe chez moi menace , coup et blessures, tentative de meurtre, chef de réseaux de prostitution et de drogue il ne me raterons pas je passerais ma vie en prison alors je rentre chez moi dans mon appartement à Marseille mon réseau es sur Paris ET Marseille j'ai mon bras droit sur paris il sapel Karim cette homme je lui fais confiance les yeux fermé wallah bref il était 10h du matin quan japel mon frère Issam il vien toujours cette même haine dans son regard j'avais juste une chose à lui dire.

Moi: Préviens les hommes et toute les femmes que le réseau de prostitution s'arrête aujourd'hui.

Il me regarde choqué de ce que je viens de lui dire.

Issam: Quoi ?

Moi: Ta très bien compris Issam j'arrête sa je veut plus jamais en entendre parlé.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai vue de la fierté dans ces yeux comme si il était content de se que je venais de faire Issam n'a jamais était d'accord avec se réseau lui il croyais en la femme il disais que ce n'était pas toute des kehba qu'il yavais encore des perle rare moi j'étais obstiné à croire que la race féminine était regroupé dans le même sac quan même ta propre mère ne te montre pas le contraire j'avais fais un constat et je m'était rendu à l'évidence jusqu'au jours ou tout à changé cette nuits la j'ai compris que j'avais tord sur toute la ligne.

《 Quand la vie choisie de te faire mal 》 Chronique de Rania.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant