Depuis l'explication d'Éléonore deux heures se sont déroulées. J'étais rester avec elle dans son bureau. Elle était sorti chercher un certain dossier lorsque son chef entra. Je tombe alors sur ELLE, en chemisier blanc avec une jupe crayon bleu marine, une veste de la même couleur et des escarpins de cuir noir, elle avait la classe. Elle dégageait toujours cette aura de séduction et d'assurance mais elle était différente. Plus à l'image de son look, qui je dois l'avouer n'avait pas grand chose à voir avec ce qu'elle portait au café. En la voyant mon corps ressenti toutes ces sensations, c'est à dire la teinte plus rouge de mes joues, le pou plus rapide.... Mais surtout la joie de la voir.
Elle entama alors de sa voix rauque :-Qu'est ce que tu fous ici ?
-Je travaille, comme stagiaire.
-Ok. Tu pars quand ?
-Dans trois semaines.
-Ok. Bon, je suis Lauren Jauregui, directrice financière.
-Camila, Camila Cabello.
-Dis à Éléonore que je repasserai plus tard.
-Très bien.
Au mon dieu, je bosse au même endroit qu'elle. Je connais désormais son prénom et son nom, et elle savait le mien. J'étais vraiment heureuse, une émotion que je ne connaissais pas fit trembler corps tout entier, il irradiait. Ce n'était pas le fait d'être heureuse, non c'était autre chose mais je n'aurai pu dire quoi.
Quelques minutes plus tard Éléonore rentra dans la pièce et me demanda:
-Tout c'est bien passé ?
-Votre chef est passé et elle a dit qu'elle reviendrai plus tard.
-Oh. Donc tu l'as vu.
-Et bien oui.
-Comment tu la trouve, première impression ?
-Euh, elle est très impressionnante. On ressent un charisme, une autorité qui se dégage d'elle.
J'avoue que je ne m'attendais pas à cette question et une fois ma réponse formulée, ma tutrice se mit à rire, un rire mélodieux. Elle continua:
-Je vais t'avouer que je ne connais pas une personne dans le service qui ne la trouve pas attirante. Elle a cette aura de mystère, si séduisante qui l'entoure. On la regarde de loin, d'ailleurs on se demande ce qu'elle fait après le boulot.
Moi je savais une chose sur elle et ce qu'elle faisait après sa journée de travaille, elle venait au café. Sinon cette déclaration ne me surpris le moins du monde. J'avais déjà assister à l'attirance qu'elle exerçait sur les personnes. Une petite voix dans ma tête ne pu s'empêcher de rajouter "et sur toi" je refoulais cette idée
La journée se termina sans que je ne puisse la revoir.
Voilà pour le chapitre 9.
J'espère qu'il vous a plus ;)