Return Again ∞

Chapitre 4

" - Que faisait-tu donc ? demande ma mère froidement Tu es en retard. poursuit-elle

- Je me préparait juste dis-je simplement espérant écourter cette stupide et inutile conversation

- Pour ce résultat la ? dit Karl se moquant clairement ne mon apparence

Je serre les poings et prend sur moi

- J'ai d'abord changée Abigail. dis-je froidement devant la non-réaction de ma mère

- On ne t'as RIEN demander Parker ! Tu devais être là à l'heure."

Je serre fortement les dents alors que ma mère s'obstine à hausser la voix et à gesticuler ses bras dans tout les sens alors que mon esprit est depuis longtemps occuper à penser à autre chose. Ma mère semblait folle, nous semblions fous, on pourrait croire que cette immense maison aux murs blanc et à l'allure parfaite était en faite un asile. Les poings serrés je ne pris pas la peine de laisser ma mère finir et sort en prenant soin de claquer la porte. Je monte dans la voiture, quelques minutes plus tard ma mère entre dans celle-ci accompagnée de ma petite soeur. Elles se mettent à l'arrière à mes côtés tandis que cet imbécile de Karl monte à l'avant. J'enfonce mes écouteurs dans mes oreilles et pose ma tête sur la vitre. Mes yeux bleus observent la beauté de Miami durant la nuit, de nombreuses lumière éclairant cette belle ville de Floride. Je sentis des larme border mes yeux, elles finirent par glisser en sur mes joues alors que je les essuies rapidement. Je ne dois pas pleurer, je dois rester forte même si l'envie de fondre en larme ne me manque pas.

Ellipse de 20 minutes

La voiture s'arrête devant une maison, pas plus grande que la notre mais tout aussi belle. La façade était parfaitement nettoyée, le jardin était impeccable, tout semblait parfait. Nous sortons tous de la voiture tandis que le chauffeur partait garer la voiture un peu plus loin. Je pris la main de ma petite soeur l'observant un petit peu. Je m'en veux pour tout à l'heure, pas pour ma mère, mais pour Abigail. Elle a dû être effrayée, elle mérite d'avoir une belle enfance, pas quelque chose de superficiel et de créer de toutes pièces. Je caresse doucement le haut de son crâne alors que ses deux grands yeux bleus semblables aux miens se lèvent vers mon visage, son petit nez rond se retrousse. Je m'abaisse à sa hauteur et la prend dans mes bras. Je me redresse quand la porte fut ouverte par une femme de ménage, elle nous fit signe d'entrer. Mes yeux observent la décoration d'intérieur, c'est sublime, la pièce et entièrement faite de meubles clairs et de tableaux de couleur vives.

La femme de ménage prend nos vestes, et nous demande de nous installer dans le salon attendant l'arrivée des nos hôtes. Quelques minutes plus tard des bruits de talons se firent entendre, je lève les yeux et voit une femme âgée d'à peu près 36 ans, ainsi que deux filles, des jumelles, sublimes. Un visage rond des grands yeux bleus, des longs cheveux châtains qui encadraient parfaitement leur beau visage. Je continue mon observation et vois à leur gauche un homme en costard, ainsi qu'un garçon au physique semblable à celui des jumelles, il semblait plus âgé et avait le nez moins plat, il possédait un sourire éclatant. La dame vint enlacer ma mère et saluer mon beau père, elle se dirige vers ma soeur et moi et dis :

" - Bonjour, je suis Angelica Simpson, j'étais à l'école avec votre maman. dit elle souriant Je vous présentes mon mari Chuck, mon fils ainé Alec, ainsi que mes deux dernières filles Jordyn et Presley, des jumelles comme vous pouvez le constater. "

- Voici ma fille ainée Parker et ma petite dernière la princesse Abigail, tes enfants sont magnifiques Angie." dit ma mère un faux sourire aux lèvres, je la connais

" Alors, Parker ? Quel âge as-tu ? Quand es-tu née ?

- 16 ans, le 14 juillet.

- Tu es une véritable blonde ?

Je l'achève maintenant ou plus tard?

- Oui."

Elle se tourne vers ma mère, alors que je la remercie intérieurement d'avoir arrêter ces questions, je déteste les gens trop curieux. Elle et ma mère partirent dans une longue conversation se rappelant de leurs années lycée, mes yeux fixés dans le vide, l'ennui m'avait totalement gagné. Alors que je pensais être sur le point de me tirer une balle à cause de tout ces piaillements, quelqu'un vint me tapoter l'épaule. Je me tourne rapidement et vois une des jumelles, Jordyn ou Presley ? Aucune idée.

" - Tu souhaites que l'on monte ? Je reconnais que ça commence à devenir réellement ennuyant. me dit-elle un sourire aux lèvres

- Je te remercie de me sauver de ce cauchemar. lui répondis-je "

Elle rigole doucement et me fait signe de la suivre, elle m'entraîne dans de grands couloirs. Certains aux murs blanc, d'autres aux murs gris, tous décorés par des tableaux plus beau les uns que les autres. Nous arrivons devant un sublime escalier en marbre, un tapis en velours rouge y était disposer. Nous montons ce si bel escalier, puis repartons dans ce labyrinthe qu'étais leur belle demeure. La jumelle s'arrêta devant une grande porte, elle l'a poussa et nous y entrons. C'était une chambre, très jolie.

" - Tu dois te demander laquelle je suis, je comprend. Je suis Jordyn, tu n'as qu'à retenir je suis celle aux cheveux plus courts et à l'allure moins superficielle. Physiquement nous sommes semblables mais mentalement nous avons tout de différents. me dit-elle souriant alors que je hoche la tête, alors, tu as eu le temps de visiter la ville et d'acheter tes fournitures ?

- Oui, j'ai pu tout acheter. Je suis vraiment stressée à l'idée de reprendre les cours dans une ville inconnue.

- Je peux comprendre, j'étais à ta place il y a quatre ans. Mais ne t'inquiètes pas, tu restera avec moi je te présenterais à mon groupe d'amis et t'avertirais de qui tu dois ou pas te méfier."

La soirée c'était vraiment bien déroulée, je m'entend déjà très bien avec Jordyn, Presley ne me correspond vraiment pas. Elle est le parfait cliché de la lycéenne superficielle, hautaine et désagréable. Alec à l'air très attachant, il a un ans de plus que nous. Je suis finalement rassurée. Mon esprit n'était même plus occupé à penser à cet imbécile de Liam. Il a dis que l'on se reverrais, mais voila maintenant un moment qu'il n'a pas montrer le bout de son nez. J'en rirais presque sarcastiquement.

-Jordyn et Presley en média-