TOME II - Chapitre 15

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PDV JORDYN 

Je rentre dans la chambre d'hôpital de Parker, et je la voix allongée sur le lit, une main sur sa poitrine, haletante. Je m'assois à côté d'elle et prend sa main :

"Respire, tout va bien se passer."

Elle sert fort les yeux, et hoche la tête en reprenant doucement sa respiration. Une fois qu'elle fut calmé, je lui dit :

"Parker, si tu ne veux pas expliquer à Liam ce qui t'es arrivé, tu dois me le dire à moi. Je suis ta meilleure amie, je ne te jugerais pas, mon regard ne changera jamais sur toi."

Elle me fixe pendant quelques minutes, je ne dis rien, ne voulant pas la presser. Ses yeux se remplirent une fois de plus de larmes. 

"Il m'a marqué, il a sorti un canif et il m'a marqué, puis j'ai perdu connaissance. Je me suis réveillé dans un endroit que je ne connaissait pas. J'avais tellement mal Jordyn, je ne pouvais rien faire, je ne me sentais même plus."

"Chut, ça va aller, raconte moi." je lui caresse doucement le bras

"Il est rentré dans la pièce, le même homme qui m'a fait ça. Il s'est approché de moi, et j'avais mal, il m'a retiré mes vêtements sans que je puisse faire quoi que ce soit." elle entame

Elle se redresse 

"Alors j'ai crié, aussi fort que j'ai pu, et un autre garçon est rentré dans la pièce, il m'a attrapé la tête, il m'a donné une gifle, et il m'a projeté contre le mur, et la je ne sentais plus rien. Le garçon qui m'a frappé s'est assis dans un coin de la pièce, il est resté assis à me fixer tout le long." 

"Tout le long de quoi ?" je demande

"Le garçon qui m'a marqué, il est arrivé, et il a p-." un sanglot sort de sa gorge 

Un frisson traverse tout le long de ma colonne vertébrale. 

"Il a quoi Parker, qu'est ce qu'il a fait."

Je termine ma phrase, et je vois Liam dans l'embrasure de la porte, je n'ai pas la force d'arrêter Parker, alors elle continue :

"Il a posé ses mains partout, partout sur moi, vraiment partout. Et alors qu'il allait retirer son pantalon, le garçon du coin de la pièce lui a dit d'arrêter. Alors il a souffler, il s'est relevé de moi, alors que j'avais l'impression que je n'étais plus moi, j'avais l'impression d'être en dehors de mon corps. Car je ne pouvais pas supporter de vivre ça. Il m'a craché dessus en insultant Liam, et il est sortit."

"Oh mon dieu Parker j-"

"Le garçon du coin, il m'a donné des vêtement et il m'a amené à l'hôpital." je la fixe les sourcils froncé "Non Jord' il m'a juste touché, rien d'autre, mais c'est terrible, je me sent tellement mal, si Liam l'apprenant il me détesterais."

"Je ne te déteste pas." elle tourne la tête rapidement et vois Liam

Elle replie ses jambes sur elle même et pose ses mains sur son visage, elle se remet à pleurer. Liam s'approche d'elle et je vois que, lui aussi pleure. Il la serre contre lui, alors qu'il pleure silencieusement. 

Je sort de la chambre, la gorge serrée. 

PDV LIAM

"Je suis vraiment désolée Liam, je ne l'ai pas voulu je te jure, j'ai tellement honte."

"Tu n'as rien fait mon amour." je la pousse de mon épaule et attrape son visage pour qu'elle me regarde "Tu entend mon bébé ? Tu n'as rien fait, ce n'est pas toi." 

Elle hoche la tête en continuant de pleurer.

"Liam je veux rentrer à la maison." 

"Je vais régler quelque chose, tu vas te reposer. Et je reviendrais te chercher tu entends ?"

Elle me fait signe que oui, je l'embrasse rapidement et quitte la chambre. J'arrive dans le couloir et fait signe au gars de me suivre. Nous arrivons sur le parking, et toute la rage que j'ai du retenir dans la chambre d'hôpital éclate enfin. Je hurle de toute mes forces et tombe à genoux, la respiration saccadée.

"Qu'est ce qu'il se passe Liam ?" me demande Eden

"Il l'ont violé." 

Carter tourne la tête vers moi et ses sourcils se froncent, tout comme ses points :

"Qu'est ce que tu viens de dire ?" il me demande rageusement 

"Ils l'ont... touché, je pense que Bastien les a arrêter."

"Je vais les tuer." dit Thomas

"Vous allez tous dans leur hangar, vous les amenez dans le notre, tous sans exceptions, les femmes aussi. Vous les attachez à des chaise et vous attendez que Liam et moi on arrive." 

"Carter put-" il m'interromps 

"La ferme putain, c'est de ma soeur dont il s'agit alors JE prend les décisions, bougez vous le cul." il hurle 

Les garçons ne perdent pas de temps et montent dans nos voitures. 

Ellipse d'une trentaine de minutes

J'arrive au hangar, en compagnie de Carter, à peine un pied dedans, je peux voir une trentaine de personne assises sur les chaises. Je souris et voit mon gang en train de gérer les armes et la drogue.

Je me met face au chef de ce putain de gang de merde, je vois son sourire, c'est lui qui l'a touchée. 

"Et si on jouais à la roulette russe ensemble les amis ?" je leur envois un sourire sadique 

La roulette russe est un jeu de hasard généralement mortel qui consiste à mettre une cartouche dans le barillet d'un révolver, à tourner ce dernier assez vite pour qu'on ne puisse pas suivre l'emplacement de la chambre chargée, puis à pointer le revolver sur sa tempe avant d'actionner la détente. Si la chambre placée dans l'axe du canon contient une cartouche, elle est alors percutée, et le joueur perd pour ainsi dire il meurt. Dans le cas contraire, la partie continue.

"Évidemment, le canon ne sera pointer que sur vous." ricane Carter

Je sort mon gun de ma poche et met une cartouche dans le barillet. Je le fait tourner, et le pointe vers un membre de son gang, ils ont tous l'air pétrifié, parfait. J'appuie sur la détente, l'homme hurle, mais rien, pas de balle. Je rigole. 

Je pointe alors mon arme sur un autre homme, toujours rien. Fatigué par aussi peu de réaction, je pointe mon arme sur une femme, une femme en particulier. La compagne du fils de pute qui a touché Parker. 

"Tyson si tu fait ça..." me menace Jordan, le chef du gang 

Je n'attend pas qu'il ai finit sa phrase et appuie sur la gâchette, une balle part alors et se loge entre ses deux yeux. Sa chaise se renverse et son corps tombe au sol sans vie. 

Jordan hurle, les larmes eux yeux et s'agite sur sa chaise. Je met alors toute les cartouches dans mon gun et lui tire une balle dans la jambe. 

"VOUS NOUS AVEZ PRIS POUR DES ABRUTIS, VOTRE SALOPE DE MÈRE NE VOUS A JAMAIS APPRIS QUE QUAND ON JOUE AVEC LE FEU ON SE BRULE ?" 

Carter et moi échangeâmes un regard, puis, les abattons tous un a un. Sauf un, Bastien, celui qui a éviter à Parker d'être totalement brisé. 

Maintenant que je l'ai vengée, je dois aller la retrouver.






Fin du chapitre les loulous (coucou ma Augu mdrrrr), merci d'avoir lu, j'espère que ça vous a plu, laissez masse de votes et de commentaires pour avoir la suite plus rapidement je vous embrasse et à bientôt !


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