Chapitre 10 : Drago mon premier ami

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Rusard nous vit :

-Ah! Je vous ai eu ! Cria Rusard.

Je fus soudainement pétrifiée de peur, j'étais comme paralysée même un sortilège de blocage n'aurait pas fait mieux. Drago lui, ne perdit pas une seconde, il sortit sa baguette :

- STUPÉFIX !!!

Rusard s'immobilisa et fut projeté au fond du couloir :

- Tu connais beaucoup de sorts d'attaques de cette sorte ? dis-je encore sous le choc de ce que je venais de voir.

- Non que celui là, mais je connais aussi des sorts de défense. Bon dépêchons nous avant que le vieux croûtons se réveille !

- Oui tu as raison, allons-y !

Nous sortons alors en courant du couloir où nous n'aurions jamais du nous trouver. Quelques minutes plus tard nous nous trouvions devant la salle commune des Serpentards :

- Zut ! Dis-je énervée​, On peut rentrer ! On a pas le mot de passe !

- Laisse faire les pros...

Drago me poussa sur le côté et marmonna deux trois mots inaudible puis....

- J'ai le mot de passe ...

- Comment tu as fait !!!??

- Je t'expliquerai plus tard on a pas le temps !

- Tu es moins bête que je ne le pensais...

- Mais ! répondit-il en rigolant, Je ne le permet pas, Sara !

- Drago ...

- Hummm

- On peut rentrer ?

- Euh... Oui oui , dit-il déstabiliser.

Croyait-il qu'il m'aurait aussi facilement ?

*

Quel idiot étais-je pour croire que dès la première rencontre elle voudrait de moi comme amis ? J'en ai marre de moi !
Elle doit me prendre pour un débile professionnel !

- Hruum, Hruum ! dit Sara qui s'inpatienter .

- Oui oui ! Le mot de passe ...

Vite c'était pour moi le moment de ce rattraper.

- Sang Pure ! annonçais-je fièrement au mur de pierre .

Là, ce fut mon heure de gloire ! Le passage s'ouvrit pouvez nous accueillir :

- Les Dames d'abord Mlle Sara .

- Oh ! Merci infiniment très chère.

*

Je m'avançais vers le passage mais avant de pénétrer dans la salle commune... je lui déposai un baiser sur la joue et je partis en courant pour découvrir la salle commune.

J'eus à peine le temps de voir passer son teint plus pâle que le clair de lune au... Rouge plus pétant que celui d'une tomate très mure...

*

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