Au Helfest

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Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas craqué sous son regarde, ses gestes, sous ses mots que me font frissonné jusqu'à l'échine ? La situation ? Vous allez me dire que c'est n'importe quoi, une ado un peu coconne qui tombe amoureuse de son prof, un prof pervers qui décide d'en profiter. Mais c'est bien plus compliqué que ça, je sais que vous me jugez sans doute déjà mais laissé-moi vous expliquer.

Mon nom est Emma et voilà comment j'ai fini par couché avec mon professeur de Français.

C'était les vacances d'été et tout l'année j'avais bavé sur mon prof de Français avec mon meilleur ami Nico, non mais sérieux un prof aussi canon c'est pas légal !!! Mr June, grand, avec des cheveux noir corbeau, des yeux bleus hypnotisant, un sourire merveilleux, un sourire à la Ian Somerhalder, à la Tyler Hochelin. Comment vous dire qu'avec lui-même Verlaine il est passionnant (et c'est l'auteur le plus chiant que j'ai eu à étudier de ma vie, et je suis en première L), avec lui ce n'était pas difficile d'être déconcentré par sa paire de fesse. Bref tout ça pour dire que cet été j'étais, comme chaque année depuis mes 13 ans, au festival hellfest, avec mon oncle, ce soir-là les concerts étaient incroyable et bien... l'alcool coulait à flot, c'était juste le deuxième soir et j'étais déjà complètement soul en train de dansé comme une folle, quelqu'un m'appelait au loin, mon oncle était à côté de moi et j'ai juré pourtant avoir entendu quelqu'un clamé mon nom. Je me suis retourné brutalement et j'ai renversé tout mon verre sur Mr June qui s'était tellement rapprocher de moi, qu'a cette distance accident est vite arrivé, je dirais même qu'il avait envahi mon espace personnel.

Flash-Back :

-Merde putain ! Je crie à cause de la musique assourdissante qui me pète les tympans et aussi parce que je suis un peu, euh... prise ? c'est le mot ?

-Et bien bonjour à toi aussi, Mr June me répond sur un ton plutôt calme pour quelqu'un qui vient de se prendre un verre de bière remplit dessus

-Mr June ? Oh merde je ne vous avait pas reconnu, je ris comme une folle qui vient de sortir de l'hosto.

-Mlle Luce, êtes-vous soûl ?

Je ris super fort comme si je ne m'étais pas déjà assez ridiculisé et hurle à tu tête les paroles de Rockstar de Nickelback qui resonne dans les amplis, je me retourne pour lui tourner le dos et manque de tombé et il colle ses mains dans mon dos pour me soutenir. Mon dieu quand je vais raconter ça à Nico il va tomber dans les pommes le pauvre ! Je sais que je devrais m'éloigne et repoussé ses mains, mais au lieu de ça je les attrape et les poses sur mes hanches, je recule et danse contre lui, il essai de retiré ses mains mais je les tiens de façon forte. Sous l'effet de l'alcool je me contrôle plus et danse contre lui d'une façon pas très catholique. Je sens que malgré lui il bande, le fin tissus qui le retient se tend et voyant que je lui fais de l'effet je relève un peu ma robe et me colle un peu plus sur ses hanches. Je vais voir mon oncle et lui dit que je pars vers les tentes, il me dit qu'il me rejoindra plus tard. Je prends Mr par la main et le tire vers ma tente, il se laisse faire il doit avoir lui aussi un petit cou dans le nez. Avant d'arrivé à la tente, je me retourne et l'embrasse pour la première fois, mon dieu j'en rêvais depuis tellement longtemps. Je glisse un chemin jusqu'à sa langue, sa bouche s'ouvre à mon invitation et je lui mordille la lèvre, il gémit contre ma bouche et je prends ça pour un encouragement et je continue à le mordillé en descendant lentement dans son coup, il continu ses petits gémissements dans mon oreille et je souris contre sa peau je continue la course enflammée de ma langue vers son oreille. Il me repousse, d'abord doucement, mais voyant que je ne recule il me pousse plus violemment. Il me retient par les épaules.

-Quoi, tu n'aimes pas ? Je demande un peu vexé en frottant mon pouce sur mes lèvres.

-Oh croit moi j'adorais continué, mais je ne peux pas, pour deux raisons, d'un tu as 17 ans, j'en ai beuceaup plus et de deux, tu es complètements soûle.

-Ça ne veut pas dire que je ne le veux pas vraiment.

Il se sépare de moi pose un baisé chaste et protecteur sur mon front, me souhaite bonne nuit et par dans une direction opposée. Me laissant là en plan complètement troublé. Je marche lentement vers ma tente m'allonge et m'endors en me posant tout un tas de question qui n'ont pas de sens, probablement à cause de mon état. Je n'oublie pas d'appelé Nico pour tout lui raconté, il me jalouse d'abord, puis me rit au nez face à son rejet.

Why not?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant