Mais à quoi pense-t-elle?

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BONNE ANNÉE!!!! 

Oui je sais, on ne m'attendais plus, à tout ceux qui sont encore là je vous remercie vous êtes vraiment les meilleurs pour m'avoir attendu tout ce temps!!

C'est le rythme accélérer de ma vie ainsi que la flemme qui vous ont fais attendre ce chapitre et je m'en excuse, et aussi je tiens à dire que je ne suis pas ravie à 100% de ce que j'ai écris mais c'est tous ce que j'ai et je pense vous avoir fais assez attendre, donc voilà le chapitre tant attendue du point de vue de Jude ;)




POV Jude:

Je me suis réveillé seul cette nuit, elle n'était pas à côté de moi. Mon premier réflexe fut de me levé pour la chercher, mais j'entend le bruit de l'eau qui coule, je sais qu'elle a besoin d'être seule, alors je la laisse, mais je tend tout de même l'oreille prêt à intervenir si j'entend quoi que ce soit de suspect. On n'est jamais trop prudent, une crise de larme est si vite arrivé.

Ma vie à changer depuis qu'elle est ici, je fait attention à elle je ne veux pas la brusquer, j'ai envie qu'elle me parle, de ses angoisses, de ses cauchemars, de ce qu'elle ressent, mais je dois attendre, attendre qu'elle s'ouvre toute seule, sans que je lui demande. Je fait attention à tout, mais parfois je doute. Je doute qu'elle me parle un jour, qu'elle se confie, ma seule envie c'est qu'elle se remette, mais je ne veux pas la brusqué, j'ai tellement peur qu'elle se perde, qu'elle s'enfonce dans son malaise, qu'elle ne s'en sorte jamais.

J'angoisse presque autant qu'elle au final, j'ai peur de ne jamais retrouver ma Emma, de ne plus la voire danser tout le temps, j'ai envie qu'elle m'appartienne complètement, sans la forcé, sans savoir que, quand je suis avec elle, dans sa tête il est là, à la hanté.

Je ne sais pas quoi faire, je ne sais plus quoi faire. Il est hors de question que je l'abandonne, pas maintenant, jamais, peut importe à quels point elle va mal. Mais j'ai tellement peur, que notre relation reste bloqué, que rien avance.

Elle revient, elle a vue que j'était réveiller, mais elle s'est quand même recouché sans un mot, juste souhaitant être dans mes bras, je le sais. Alors je la serre doucement contre moi, faisant attention de ne pas la serré trop fort, sa peau étant encore fragile. Elle s'enfonce contre moi, je devrais bander, qu'elle homme normal ne le ferait pas? Avec un corps aussi sexy contre le sien, aussi désirable? Mais je ne peu pas, l'ambiance est trop lourde, de plus je ne veux pas la brusqué avec cela, quand elle sera prête elle viendra d'elle même. Honnêtement j'ai très envie de faire disparaître toutes les traces de ce salaud, toutes les traces qu'il a laissé sur son corps, avec MES mains, MA bouche, MA langue, et comblé se qu'il LUI a arraché, la rendre heureuse, voir un sourire sur son visage, la voir jouir dans mes bras, sans l'associé avec ce connard. Mais je pense que mes plans devrons attendre, elle n'est pas prête, elle ne le sera pas avant longtemps, mais quand elle le sera, je le serais aussi.

Je serais là pour elle, toujours...

Le lendemain, elle se lève un peu avant moi et c'est donc comme tout les matins que je me réveille, que je la cherche du regard, mais que je sais, je sais qu'elle n'est pas là. Elle est dans la cuisine, elle prépare le petit déjeuner,... seule, pour moi comme pour Cécilia. Je pense que ça la rassure, de faire des gestes du quotidien, tout simple, sans se poser de question, des gestes automatique. Alors comme tout les matins je me lève et pars prendre une douche, je la laisse encore quelques minutes seule, je sais que ça lui fait du bien.

Quand je descend Cécilia est avec elle, elles discutent, de tout, de rien. De la rentré, c'est apparemment le sujet de ce matin. C'est vrai que je ne me suis pas demandé comment aller passé ce jour fatidique, ce jour ou elle ne sera plus en sécurité à la maison, plus avec moi, dans mes bras... Je n'ai pas non plus travailler de tout l'été, je n'ai pas fait grand chose. Elle non plus n'y a pas penser je le sais. Elle est seule maintenant, elle n'a plus sa mère, je devrais sans doute faire quelque chose.

Je m'incruste avec elle, elle m'embrasse chastement et me tend une tasse de café. Et un remerciement plus tard nous nous retrouvons tout les deux en tête à tête, je ne dit rien, j'attend, qu'elle me dise quelque chose, elle en à envie, je le vois, je le ressens, l'air se fait soudainement plus lourd, alors je lui souris et j'attend.

-June?

-Oui?

-Est-ce que tu n'as pas envie de... tu sais, avec moi, je te fait attendre, je suis désolé... si tu veux on le fait... je... je

Je sens sa voix se faire plus petite, les larmes commencé à coulé. Je l'arête tout de suite en plaçant mes mains sur ses joues, encadrant son visage, mes pouces sous ses yeux, retenant ses larmes qui menacent de rouler sur son visage. Je pose mes lèvres sur les siennes, un mouvement doux et léger, que je veux rassurant, je fait passer tout mon amour dans ce baiser.

-Je ne veux rien Emma, quand tu seras prête je serais là pour toi, mais pour l'instant je ne te demande absolument rien, compris?

-Mais tu en as envie?

-Non, non pas temps que tu seras comme ça, jamais... jamais si tu es mal.

Elle hoche la tête, sans doute n'arriverait-elle pas à prononcer un simple "oui" même si elle le voulait. Je la pris dans mes bras, sa tête sur mon épaule tremble un peu pendant qu'elle pleure en silence. J'attend que ça passe dans un temps que je trouve infiniment long, seulement parce que je ne supporte pas de la voir malheureuse. 

Why not?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant