Traumatisme

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J'ai fait des cauchemars de nombreux jours, un traumatisme de l'événement c'était encré peu à peu en moi. Les premières semaines ont été les pires.

Flash-Back:

Un cauchemar, voilà pourquoi je me réveille en sueur, et en hurlant. On me tient les épaules et je retire en vitesse ses mains inconnue. Je voie flou, les larmes inonde mes yeux, impossible de reconnaître la personne à côté de moi. Mais j'entend sa voix, un doux murmure. June. Il est là je reconnais sa voix. Doucement je me calme, je sens ensuite son odeur, je frotte mes yeux et les rouvres pour me le retrouve devant moi, mort d'inquiétude. Je me place dans ses bras la tête sur sa poitrine j'inspire un grand cou et son odeur m'envahi.

-Je suis tellement désolé Emma, murmure-t-il en me caressant les cheveux, je n'aurais jamais du te laissé rentré. Je savais pourtant, je savais.

-Ce n'est pas votre faute, lui répondis-je la voix brisé.

Je ne sais pas exactement combien de temps nous sommes resté comme ça, mais une infirmière est arrivé et nous a dit que je pouvais partir. La mère de Nico était partie et m'avait demandé de l'appeler lorsque je devais rentré. Je m'apprêtait à prendre mon téléphone quand June m'attrapa le bras.

-Il est hors de question que tu reste loin de moi, j'ai appelé la mère de Nicolas elle est d'accord pour que tu viennes chez moi.

-Vous êtes sûre? Je ne voudrais pas vous dérangez.

-Tu ne me dérange pas du tout!

Il m'a ramené chez lui, Cécilia dormait chez Camille apparemment. On à manger ensemble. Puis on à mit un film, et je me suis blotti dans ses bras. On est aller se couché, toujours en silence, comme si la moindre parole prononcé pouvais brisé notre petite bulle de confort.

J'ai fait des cauchemars toute la nuit, mais à chaque fois il était là, il me prenais dans ses bras, me rassurait, sans se plaindre, en douceur. Le lendemain, c'est épuisé que je me lève, que je déjeune, et c'est la mort dans l'âme que je me dirige vers la douche, je ne veux plus voir ses bleu, la trace de ses doigts. Je suis seul avec mes pensées, je les vois, ces tâches au couleurs du ciel qui parsème ma peau, des traces de doigt rouge et qui me brûle les hanches, les poignets et même les chevilles. Les voir me tue, me rappelle à chaque mouvement ce qu'il m'a fait, et ce que je n'aurait plus malgré tout; ma mère, de la stabilité. Je frotte encore plus fort, je veux qu'elles partent, je ne veux plus les voire, je veux qu'elles DISPARAISSENT, qu'elles partent pour laisser à nouveau mon corps pure, pure de toutes ces immondices qu'il m'a fait. Tout s'effondre autour de moi, j'ai l'impression que même la gravité à changé je fini assis en pleure, c'est quand un léger cri m'échappe qu'il débarque, me prend dans ses bras, et me lave, me débarrassant ainsi de toute trace que se porc aurait pus laissé sur moi, s'excusant encore et encore dans une litanie qui m'apaise et c'est tout naturellement que je m'endors lorsqu'il me pose sur son lit encore entouré de son peignoir, il a son odeur, celle que j'aime tant, qui me réconforte.

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