L'inconnu

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Je ne sais pas trop ce qui c'est passé dans ma tête pour que je sois repoussé à ce point par cette idée de vieillesse, je veux dire il fallait sans douté qu'il n'était pas tout jeune, des petites rides se formaient déjà au coin de ses yeux, et quelques mèches blanche teintaient ses cheveux. Il ne mettait jamais traversé l'esprit qu'il puisse avoir une vie, une famille, une petite femme qui l'attendait le soir, une fille en pleine crise d'adolescence qui lui criait dessus parce qu'il avait osé lui demandé d'éteindre Snapchat deux minute. J'était sous le choque et toute ma stupidité m'est revenue en pleine face cette soirée là, quand Cécilia June c'était moqué de moi, parce que je croyais que son père était en faite son frère. Ce soir la j'ai presque couché avec un gars inconnu.

Flash-back:

Après avoir trouvé un mec plutôt pas mal qui était un peu plus pris que moi, je le tire vers l'étage. J'ai pris un peu de temps à le trouvé, entre les mecs pas du tout à mon goût, ceux qui avait une copine, ceux qui avait déjà jeté leurs dévolu sur une autre et enfin les puceaux, il me fallut un bon quart d'heure avant d'en trouvé un. Il est grand brun, avec des yeux chocolat, un peu soûl, certainement pas puceau, il s'appelle Charlie. Une fois dans une chambre, sobre et élégamment décoré, je verrouille la porte et le jette sur le lit, je m'installe sur son entre-jambe et me jette sur son coup, je l'embrasse, le lèche et laisse quelque trace, il ne se plaint pas, au contraire il respire de façon irrégulière et relève la tête m'incitant à continuer. Je relève la tête de son cou, j'entend une plainte sortir sous forme de grognement de mon partenaire, je fait un sourie que le diable me jalouserais et je m'attaque cette fois si à ses lèvres. Je l'embrasse avec fougue, personne ne l'a sans doute jamais embrassé comme ça. Je maltraite ses lèvres qui, sous mes assauts, s'ouvre afin de m'y laissé entré ma langue qui s'entremêle immédiatement avec la mienne sur un rythme endiablé. Je le relève en position assise et lui retire son t-shirt. Il m'embrasse le coup pendant que j'essaie de lui ouvrir sa braguette. Il continue le parcourt de sa langue jusqu'à mon bas ventre et commence à me retiré mon haut, il m'aide à enlevé son pantalon.

-Tu as une capote? l'interrompis-je avant que l'on ne puisse plus s'arrêter.

-Euh.. non.

-Bah qu'est-ce que tu attend va en cherché une!

Il se lève se rhabille approximativement, il part cherché ce dont on à besoin. Je m'allonge, mais qu'est-ce que je fait, est-ce que ça en vaut vraiment le coup, coucher avec un inconnue, juste pour comblé la frustration que j'ai ressentit à cause d'un prof, un prof sérieusement? Emma ma pauvre tu es tombé bien bas, je me lève et cherche mon t-shirt qui à valsé je ne sais trop où, il faut que je trouve Nico. A ce moment là la porte s'ouvre, sur une jeune fille, petite au trait angélique. Elle me regarde des éclaires dans les yeux. Je trouve mon haut et l'enfile.

-Où est-ce qu'il est?

-De qui?

-Oh ça va ne fait pas l'innocente, ma meilleure amie t'a vue monté avec lui ici.

-Mais avec qui? Charlie?

-Oh c'est pas vrai je vais le tué, c'est mon mec.

Et c'est à ce moment que ce dernier décida d'arrivé, une capote en main fière. Mais sa bonne humeur est vite tombé en voyant sa copine et son amante d'un soir dans la même pièce.

-Bon je vais vous laissé, vous avez des choses à vous dire apparemment.

Je quitte la pièce en courant presque, je trouve Nico qui me tend un verre, et je bois, je bois je bois, je ne m'arrête pas. Deux heure on passé depuis l'incident, et je suis sur une table, en train de dansé de façon très osé, collé entre Nico et Cécilia. Mon esprit est embrouillé par l'alcool, je sens mon corps engourdie, mais je m'amuse en quelque sorte. L'alcool m'a fait complètement oublié, l'histoire "June". J'ai parlé avec Cécilia, elle est chouette en faite c'est une fille superbe, elle sort avec Camille depuis quelques semaines apparemment.

Bref cette soirée avait mal débuté, mais maintenant tout va bien. Mais comme rien ne reste jamais bien longtemps, il fallait s'attendre à ce qu'on vienne me gâche ma fin de soiré. Bien que j'aurais sans doute fini dans un coma éthylique si personne ne m'avait arrêté. 

Why not?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant