- Ysa?!? Répondit-il en lâchant son fusil à terre.
- Qu'est-ce que tu fait la? Tu connais cet homme? Repondit Lucas perplexe.
-Euh..Oui, hum* fais-je pour m'éclairer là gorge*... C'est... À vrai dire mon ex. Dis-je un peu gênée face à cette situation.
-Quoi?!? Comment tu es sorti avec une ordure pareil? Rentre à l'intérieur tu n'a rien à faire ici, c'est beaucoup trop dangereux! Me dit Lucas en pointant la porte.
-Bref, comment vous vous connaissez tout les deux? Répondit Jason en nous pointant tout les deux avec son fusil qu'il a ramasser.
-Wow! Pose ton fusil s'il vous plaît, dis-je apeurée.
-T'inquiète bébé je ne vais rien te faire, je suis venu pour cette sous-merde là. Dis Jason en montrant du menton Lucas.
- Je te défends de l'appeler bébé, Jason. Répondit Lucas à ma place.
-Sinon quoi? C'est moi qui a le fusil non? Donc c'est moi qui domine ici!
Le répondit Jason furieusement.- Ferme ta gueule pauvre imbécile, tu m'a pris par surprise cette fois-ci mais t'inquiète pas la prochaine fois, moi aussi je serais armé. Rajouta Lucas.
- Ah ouais? Jason dis en le narguant.
- Bien sur que oui, répondit Lucas en le défiant du regard.
Un coup de fusil raisonne. Je pousse un cri d'effroi. Heureusement, personne n'a été blesser, c'était juste Jason qui a tiré dans les air pour nous "démontrer sa supériorité".
Jason s'approche dangereusement de moi puis lorsqu'il est à moins de deux centimètres, il chuchote dans mon oreille " T'inquiète pas bébé, on vas se revoir bientôt mais ose ouvrir ta jolie petite gueule et toi et tes proches vous verrez de quoi je suis capable". Puis, il me gifle les fesses et pars. Il vas ensuite retrouver Lucas et lui fait un clin d'œil avant de relâcher un coup de fusil dans les airs pour partir pour de vrai.
Je ne vous l'avez pas dit mais j'ai quitter Jason parce que j'ai appris qu'il était dans toutes ces merdes là. J'ai fait une dépression et Cuba c'était un peu une façon de ne plus y penser mais voilà que je le revois.
Donc, le cauchemar recommence...
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Scars Life Made Me
General Fiction*FLASHBACK* Cuba, été 2017. Un deuxième coût de fusil résonne à nouveau. Et puis je le vois, s'effondrer à terre en sang. Immobile, incapable de bouger, les larmes coulent. Je ne réalise pas encore la situation mais quelques secondes plus tard la vé...