Secret de famille il est en moi et le restera a jamais (première version)

Au bord du sucuide.

Cela fait 3 semaines que je suis chez moi a rien faire de mes journées. Je ne mange plus et ne vais plus a l'école. De toute façon cela ne sert a rien. Ma vie est foutu,  un jour je deviendrait comme lui, un loup garou. Mon destin est d'être cacher, alors autant s'habituer à la solitude. Il est 19 heures. J'ai même pas vu le temps passé, ça fait cinq heures que je suis allongée sur mon lit a rien faire, je crois que chui dépressive. En tout cas j'ai tout les symptômes pour l'être. Ma mère est morte,  a cause de se foutu don !!! Elle est morte parce qu'elle était un loup garou !! Si elle n'en avait pas été un, je serai née et elle serait encore là !!! Mais non !! Et maintenant elle est morte. Je pleure sur mon lit. Les larmes tombent, je pleure ma mère, cette malédiction... dire qu'un jour j'en serais un. Mourrais-je moi aussi en accouchant ? Comme ma mère ? Je cris je hurle presque, sans bruit pour ne pas inquiété mon père. Je ne veux pas qu'il vienne,  qu'il essaye de me réconforter. Il est un des leurs. Et c'est a cause de lui que je suis dépressive maintenant !!! Je sers mon coussin dans mes bras, ferme les yeux et cherchent a trouvé le repos... mais les images reviennent sans cesse dans ma tête, puis s'est au tour des cries,  des hurlements. Puis dans un sursot tout s'arrête,  j'ouvre les yeux. Ils fait nuit. Je regarde mon réveil, il est au alentours de minuit, ça fait un mois que j'ai vu mon père ce transformer. Je pleure, j'en ai marre !! Je veux mourrir, me suicider !! Tout les soirs je ne fais que des cauchemar,  et le jour je ne fais que rester allongé sur mon lit !! A quoi sert la vie si je la vie comme ça !? Je ne sortirai jamais de se cercle vicieux alors autant en finir tout de suite !! Je me lève de mon lit et me dirige rapidement vers la fenêtre. Je l'ouvre, et je me dit qu'il y a un mois je fesais l'inverse. L'air frais caresse mes cheveux et mon visage, je passe une jambe pardessus la fenêtre, puis l'autre. Me voilà assise sur le rebord de ma fenêtre, en robe de chambre. Je mit mes mains en arrière, me poussant doucement vers ce vide de 10 mètres qui sépare la fenêtre du sol. Il fait froid, il faut en finir maintenant,  je continue de me glisser vers le vide, je sens que je vais bientôt tomber quand une larme coule sur ma joue. Je ne peut pas me suicider, je me remets sur le bord de la fenêtre, je ne peut pas me sucuider. Cela tuerais mon père, il a déjà perdu ma mère, il ne supportera pas de me perdre moi, surtout si s'est de ça faute. Il faut que je retourne vers le droit chemin. Demain je retournerai à l'école !!