C9: Totor à l'asile délabré

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*Cette chanson est utile pour le chapitre (enfin!) donc merci de la lancé quand je l'indiquerais. je voulais aussi m'escuser d'avance auprès de mon petit ange car je sais que cette chanson t'as fais pleuré! SORRY! Voilà je crois que j'ai tous dis!

BONNE LECTURE!!!

Je montai donc dans le salon et je partie exploré les environs. Une forêt entoure la cabane, elle est magnifique. Je suppose donc que nous ne sommes plus dans la ville de Stockholm. La neige est immaculée à certains endroits. Enfin je croyais. Je prends donc les couteaux que j'ai mis dans mes chaussettes et prend mon arme à feu qui était cachée sous mon tee short. Je suivie les empreinte de pas jusqu'à arriver à des tentes. Le fait de voir des tentes dans la neige sans feu de camps me parut bizarre. J'ai vite compris que ce n'était pas une impression quand on commença à me tirer dessus.

Ma première réaction a été de courir dans la direction opposée par rapport à la cabane. Cela évitera de mettre les autres en danger. Ils courraient beaucoup trop vite pour que je m'échappe et les tirs ne cessaient pas. Un tir me toucha dans le bras tout près de l'épaule gauche. Ça faisait un mal de chien mais l'adrénaline aidait. Je me mis donc à couvert. Je tirais avec mon bras droit ce qui n'était pas pratique pour une gauchère, mais je les touchais car j'avais été formé pour ce genre de situation.

J'avais vraiment mal, mais je devais continuer à tuer ces inconnus pour survivre. Je ratais quelque fois mes cibles ce qui fait que je n'ai plus de balle. Il restait un ennemi et il me restait trois couteaux. Pour mon premier tir, je visai sa tête mais je le rata. Il se rapprochait dangereusement de moi. Mais ces tirs cessaient car il n'avait plus de balle. Je lançai le deuxième et le troisième couteau simultanément. Le deuxième atteint son but, il trancha le tendon de son pied d'appuis. Mais le troisième tir rata.

Mon ennemi c'était effondré à terre. Quelle chochotte celui-là ! Je pris donc une arme appartenant à un de ses congénères et le teint en joue. Je le levai sans écarté mon arme lui proposa mon épaule pour s'appuyé durant le trajet. Mon bras me faisait de plus en plus mal car il s'appuyait dessus. Vu qu'on se vidait tous les deux de notre sang on s'arrêta en chemin pour que je nous face des garrots. Je vis enfin la petite cabane et je me mis a hurlé :

-Au secourt j'ai besoins d'aide ! Aidez-moi !

Dans la tête de Tyler

Une fois que nous avons fait nos lit, on se rejoignit tous dans le salon pour parler de l'affaires. Il manquait Ry mais on pensait tous qu'elle dormait à cause de tous les décalages horaires qu'elle a eus cette semaine. On entendait des tirs au loin mais on pensait à des chasseurs. Une demie heure plus tard on entendit quelqu'un appelais au secours. Tout le monde se regardai mais personne ne bougeais. Nous pensions tous à quelqu'un qui essayais de nous délogé d'ici pour nous attaquer avec plus de facilité. Puis les appels aux secours reprirent et Ethan se mis à courir vers la porte. On le retint mais il se débattait en hurlant des choses incompréhensible jusqu'à qu'une de ses phrase soit claire

-C'est Riley !

Je me précipitai dehors sans réfléchir. Quand je la vie blessée et couverte de sang mon cœur s'arrêta mais il reprit au moment où je vis le mec qu'elle tenait en joue. J'entendis un commentaire et la réponse d'Eth m'a fait rire.

-Elle est trop forte

-Je sais c'est ma sœur.

Je repris ma course au pas de charge, mis une droite au mec et porta Ry en mode princesse jusqu'à l'intérieur. Les autres membres du gang se sont chargé de rentrée l'autre mec pendant que je suis allé chercher des antidouleurs, du désinfectant, des kits de sutures et de quoi faire des bandages.

Vole ou tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant