Forever no Regrets ... Livaï X Oc [TERMINÉ]

Chapitre IV {Fin}

PDV Amandine :

Elle regarde ces choses avec insistence mais je ne peux pas voir ce que c'est.

- Faut que je montre ça à Erwin dêpeche toi on rentre !

Tout à coup, elle est redevenue une enfant. Je ne sais pas ce qui la rend si euphorique. En ma présence elle n'est quasiment jamais joyeuse ... Étrange.

PDV Livaï :

D'après Erwin, Saphir est sortie avec l'autre gosse, ce qui fait que je suis tout seul. Mais vraiment. À part Hanji et les cadets tout le monde est en mission. Soudain la porte principale s'ouvre, laissant apparaître Saphir et la petite. La plus âgée tient des papier à la main et l'autre semble ... Traumatisé ! C'est pas exactement ce que voulais Saphir ? Lorsqu'elle m'aperçoit, elle me fonce dessus et me prend dans ses bras. Je répond à son étreinte mais j'y comprend toujours rien.

- Je les ai trouvées !
- De quoi tu cause ? Tu deviens aussi folle que Quatre'z'yeux ( NDA : Désolée si c'est mal écrit 🙇)
- Les photos Livaï ! Les photos !
- Elles étaient pas sensées être perdues ?
- Je pense que ceux qui nous on agressé les avaient volées pour faire du chantage à mon père. Mais regarde je l'ai ai !

Elle montre les photos sur lesquelles on voit clairement son père donner de l'argent au marché noir. Seulement j'arrive plus à me concentrer. Elles ont était agressées ?! Si je croise les enculés qui ont osés faire ça à Saphir je les butte !

- Saphir ? Vous avez été agressé par qui ?
- Oh ça ... C'était juste des types des Brigades Spéciales. Je leur ai cassé la gueule, ils ont rien compris ! Bon tu m'excuse je dois allez montrer ça à Erwin. Tu veux bien t'occuper d'elle pendant ce temps ?

Elle tourna la tête vers l'autre gamine.

- Je suis pas Baby-sitter moi ! Encore moins pour elle !
- Ça va j'ai compris je la file à Hanji. Oh et je ne t'en veux pas ... J'aurais fais pareil à ta place ... Voir pire !

Elle s'en va en rigolant ... Avant de se rendre compte qu'elle a oublié la fillette. Donc elle reviens et repart. Allez, retour, allez, retour, allez retour. Honnêtement j'aurais laissé la gosse ici. Je vais dans mon bureau, j'espère que ça ira mieux maintenant.

PDV Amadine :

Une fois arrivées, j'aperçois Livaï. J'ai une idée ! Si je me fais passer pour la pauvre petite fille traumatisée et apeurée qui c'est faite agresser en plus, j'arriverais peut être à l'attendrire et du coup avoir un ticket. Je m'imagine 1 milliards de possibilités toute plus belle les unes que les autres. Sauf que rien ne se passe comme j'aurais voulu ! Saphir saute dans ses bras et ils s'enlacent puis ils se murmurent des mots que j'entends pas. Je sais juste que ça parle de photos très précieuses visiblement. J'ai envie de les séparer et de remballer Saphir mais je me souviens comment elle a cassé la tronche des agresseurs et me ravise. Puis Saphir s'en va tout sourire et revient me chercher. Elle m'emmène à Hanji. J'y reste une partie de l'après-midi. Puis elle revient me chercher.

- Ce que tu as vu aujourd' hui est loin d'être si terrible par rapport à ce que tu vas voir. Je te préviens.

Qu'elle horreur ! Déjà que j'ai eu du me retenir de pleurer si c'est pire ! On arrive à l'infirmerie et là, je ne peux retenir un haut-le-corps. Une dizaine de blessés grave sont là, sur des lits à attendre qu'on les soigne. Mais où est l'infirmière ?!

- Je t'avais dis que ça allait être pire. Bon assied toi et observe. Si j'ai vraiment besoin de toi, enfile des gants et viens m'aider. C'est un ordre.

J'hoche doucement la tête et me laisse tomber sur une chaise. La plupart des blessés ont perdus un membre. Saphir s'occupe d'eux, les opère si nécessaire, leur parle doucement et les aide à ce remettre. Je ne veux pas en voir plus c'est vraiment affreux. Tout ça parce qu'ils voulaient aider l'humanité pendant que moi je demandais toujours plus. Les personnes qui sont mortes, celles blessés ont données leur vie pour les bourgeois comme moi. Je ne peux retenir mes larmes plus longtemps. J'ai bien compris la leçon je crois. Lorsque Saphir a fini elle me sort de la pièce en leur lançant un " à demain" délicat. Une fois la porte fermée elle me regarde droit dans les yeux.