Petites précisions :
- Pensées des personnages et paroles de la chanson en italique
- Chanson utilisée : La Salsa du Démon du Grand Orchestre du Splendid
Onodera en viendrait presque à voir se taper la tête contre un mur. Cette satanée chanson le hantait depuis quelques jours déjà car Takano n'avait pas cessé de l'écouter dans son appartement... Comment Ritsu s'était-il retrouver dans l'appartement de son chef ? Franchement avez-vous besoin de poser une telle question ? Bref, à chaque fois qu'il posait donc ses yeux sur l'homme aux yeux bruns chauds, voici ce qui lui passait par la tête.
(Horreur)
(Malheur)
(Aaaah)
Oui, je suis Belzébuth
(Horreur)
Je suis un bouc, je suis en rut
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, je vis dans l'ordure
(Horreur)
Je pue la sueur et la luxure
Quand il y pensait... La luxure était clairement le péché auquel l'autre homme correspondait le plus avec son attitude lorsqu'il le pourchassait de ses avances plus assidues... Le rouge monta aux joues du jeune éditeur alors qu'un flash où le torse musclé du tyran apparut clairement et jusque dans les moindres détails dans son esprit... RAH ! NAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOON !
- Reprends-toi, Ritsu ! Ne... Pense... SURTOUT... Pas... A... Ça... !
Et pourtant, Takano ne l'aidait pas pour un sous. Évidemment, l'homme avait très bien comprit ce qui tourmentait son bel amant mais ne faisait strictement rien pour arranger les choses. Au contraire, le voir aussi perturbé l'amusait grandement. Sans que les autres éditeurs ne le remarque, bien trop occupés à bosser chacun de leur côté, Takano se faufila derrière son amant et se baissa de manière à ce que ce dernier sente parfaitement son souffle sur sa nuque. Le brun souffla sur la peau qui se couvrit de chair de poule alors que le plus jeune tressaillit, sursautant violemment. Furieux, Ritsu se retourna près à enguirlander son patron mais dès qu'il croisa le regard de celui-ci...
Je fume je bois, j'ai tous les vices
Et j'ai du poil partout sur les cuisses
Je vous déteste, je vous maudis
J'suis complèt'ment pourri
Quand j'vois un gosse, j'lui fous une claque
Quand j'vois une vieille j'lui piqu' son sac
Je crache, je rote, rien ne m'arrête
Car aujourd'hui c'est la fête...
C'est la, c'est la, c'est la
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Les Manuscrits des Editeurs de Shojos
General FictionRecueil de drabbles sur Takano Masamune et Onodera Ritsu principalement ! YAOI alors homophobes, je ne vous encourage point à lire ce qui suivra dans ces histoires de mon cru et totalement débiles ! Car oui, je vais partir très loiiiiiiiiiiiiiiiiiii...