Chapitre VI : La volonté de réussite

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Dans la voiture, mon père et moi ne parlions pas, comme à notre habitude, malgré que j'essaie de lancer la conversation, il me dit que je suis trop jeune pour lancer des sujets qui pourrait l'intéresser. Pour essayer de parler avec lui, je lit, je regarde les nouvelles chaque jour, j'ai les meilleures notes de ma classe, mais malgré cela il me dit "C'est l'âge qui fait les sujets." Cette phrase est philosophique en fin de compte, mais totalement fausse, j'ai une intelligence supérieure à la moyenne, et je m'y connais en plusieurs sujets. Serait-ce parce que mon père croit dur comme fer à sa phrase pseudo-philosophique ou qu'il veux éviter de me parler ? J'espère sincérement que c'est la première, ce serait bête de sa part mais comme ça il ne me rejetterait pas.

On arrivait enfin à la maison, je descendis et mon père repartit directement pour retourner à son travail, il reviendrait à la maison dans 2 semaines. Je m'allongeais dans mon lit, après avoir mangé, et m'endormit, j'étais tellement fatigué.

Le lendemain, je me prépara avec les affaires que m'avaient donné mes servantes, puis je partis à l'école avec mon vélo, je n'avais aucune envie de prendre le bus et en plus je n'habitais pas loin de l'école donc c'est pas grave.

J'accrochais mon vélo à un pôteau qui était placé au stand de vélos puis je partis dans la cour pour lire, comme Alicia n'était pas là je n'avais rien d'autre à faire.

Les jours passèrent et Alicia n'étaient pas revenue, j'avais entendu quelques nouvelles, elle est sencée revenir dans l'après-midi. Je suis pressé de la revoir, dès que j'aurais mangé je me précipiterais à la sortie pour l'attendre. Pendant ces derniers jours on ne m'avait pas embêté, j'étais juste seul, je remerciais au fond Alicia d'avoir parlé aux garçons.

Fut venu le moment de la pause du midi, je me dépêchais de manger, débarassais mon plâteau puis couru vers la sortie pour voir mon amie. Elle était là, je me précipita vers elle pour la prendre dans mes bras, j'étais tellement content de la voir ! Je lui demandais si elle allait bien, elle me répondit que oui et on alla dans la cour pour parler.

Plein d'élèves venaient vers elle pour lui demander si elle allait mieux, elle leur répondait que oui, j'étais content pour elle que les gens se soucient d'elle. Il y en a plein qui essayaient d'être ses amis, mais elle leur répondait qu'elle n'en avait pas envie car elle les trouvaient hypocrites. Elle n'était alors qu'amie avec moi, j'étais heureux que ce soit un privilège, et qu'il me soit accordé.

Une guerre plutôt communeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant